De la filière batterie au Plan d’action 2035 et au projet de loi 69
Sa croissance de néolibéralisme tronqué mène à la privatisation

Tintin décroissance

 
Si ni la réduction de GES ni la création d’emploi ne sont les buts réels du développement de la filière batterie tout en profitant d’abord et avant tout aux transnationales hors Québec, comme on l’a constaté dans l’article précédent portant sur
l’analyse de la filière batterie, qu’est-ce qui motive l’engouement des gouvernements ? La loi 69 « pour moderniser les lois entourant l’énergie » en fournit la clef. Avant d’y arriver, il faut cependant passer par la médiation du « Plan d’action 2035 » d’Hydro-Québec indispensable à la réalisation de la filière batterie.


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De la filière batterie au Plan d’action 2035 et au projet de loi 69



La filière batterie engageant l’économie du Québec dans le XXIe siècle
Le climat justifie une politique industrielle contre le peuple travailleur

Petite-nation contre graphite

 
La filière batterie entraînant le
« Plan d’action 2035 » d’Hydro-Québec et encadrée par la loi 69 « pour moderniser les lois entourant l’énergie » est de facto non seulement le cœur de la politique industrielle du Québec mais l’épine dorsale de sa politique de développement économique pour la première moitié du XXIe siècle. Comble de l’absurdité, Québec n’associe aucun objectif global ou sectoriel ni échéancier de diminution des gaz à effet de serre (GES) au développement de la filière batterie malgré un investissement à terme de 30 milliards $ !


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La filière batterie engageant l’économie du Québec dans le XXIe siècle



La complainte de la gent étudiante juive des universités du Québec
La réalité de l’antisémitisme ne justifie pas une nouvelle Shoa

camp étudiant mcGill
 

La gent étudiante juive des universités québécoises, du moins une partie d’entre elle
, se plaint de discrimination, d’intimidation et de haine. Strictement parlant, elle n’a pas tort. L’antisémitisme trouve ses racines dans les tréfonds de la civilisation dite occidentale soit à l’ancienne à l’encontre du Juif assassin de Jésus de Nazareth soit à la moderne contre le Juif épine dorsale soit du capitalisme financier soit du communisme dépendamment de l’orientation politique de tout un chacune. En ont résulté pogroms et Holocauste. Jusqu’à ce génocide, on pouvait considérer l’antisémitisme comme le socle de tous les racismes. Peut-être l’est-il encore en catimini et sans doute inspire-t-il certaines opinions et certains gestes de ceux et celles qui appuient et luttent pour la libération nationale du peuple arabe palestinien ? Nul doute qu’il faille dénoncer ces gestes et opinions.


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La complainte de la gent étudiante juive des universités du Québec

La victoire du NFP français : des leçons pour le Québec
Délivrer les Solidaires du piège du « recentrage » politique

France après le vote ant RN

 
Le grand soulagement de la victoire (relative) du Nouveau front populaire (NFP) est riche de leçons pour la gauche anticapitaliste québécoise. Pour ce faire, il est pertinent de s’appuyer sur
le bilan-perspective de Léon Crémieux pour la gauche anticapitaliste française. Les politiques austéritaires du président Macron, dans les mêmes eaux que celles de la CAQ, ont été imposées par ses pouvoirs présidentiels sans majorité parlementaire. Au Québec, elles l’ont été par une majorité parlementaire acquise sans majorité populaire grâce au système uninominal à un tour. Pour contrer l’impopularité des ces politiques, les deux gouvernements ont tiré à boulets rouges sur l’immigration accusée de tous les péchés du monde.


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La victoire du NFP français des leçons pour le Québec



Les GES ne plafonnent pas mais croissent à un taux croissant
Contre la bourgeoisie suicidaire le mouvement écologiste s’unifie

Fleurir et vivre
 
 
Régulièrement les grands médias annoncent le plafonnement ou la baisse des émanations des gaz à effet de serre (GES), La Presse pour le Canada, le Washington Post pour la Chine, The Economist pour l’Europe, le New York Times pour le monde. Et pourtant il n’en est rien. Cette baisse ou ce plafonnement ou tout simplement une décélération de la hausse du CO2, le principal GES, on ne la voit pas quand on examine l’évolution de l’étalon de mesure par excellence soit celle de l’observatoire de Mauna Loa à Hawaï qui enregistre la densité du CO2 depuis 1958. Au XXIe siècle, la réalité a plutôt été une accélération du taux de croissance de chaque décennie (ligne noire). La baisse du taux de croissance des premières années de la présente décennie s’explique par l’effet de la pandémie. Mais le record de 2023 vient effacer toute illusion :

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Les GES croissent à un taux croissant car le capitalisme l’exige