L'échec flagrant du marché/taxe carbone de la Colombie britannique et du Québec
Le capitalisme vert du trio tarif/auto électrique/BECCS mène au néo-fascisme


Manif étudiante climat avec drapeau Québec vert


Le 17 mai dernier, environ deux mille jeunes des écoles secondaires de Montréal et une poignée d'alliés, prenant de l'avance sur les rassemblements semblables de la semaine suivante en Europe, manifestaient (album de photos) pour enjoindre le gouvernement caquiste à secouer ses puces afin de se doter d'un plan climat à la hauteur de ce que le GIEC-ONU juge indispensable soit - 50% de GES net d’ici 2030 et -100% d’ici 2050. Le contenu des affiches de la manifestation traduisait une grande émotion, parfois une radicalité idéologique (« changer le système, pas le climat ») et très rarement une revendication. Le contingent Solidaire, à part la menace de faire « barrage politique », n'en avait aucune à proposer. Attendre de la CAQ, un parti ultra-libéral et discriminatoire, au point même de le courtiser et d'en devenir membre, ou de l’hypocrite gouvernement pétrolier canadien, un plan de transition à la hauteur voulue relève de la chimère et de la tromperie... à moins de se contenter de mesures pointues minimalistes pour sauver la face.


Pour lire le texte complet :

L'échec flagrant du marché et taxe carbone de la Colombie britannique et du Québec


L’élection québécoise enlignée sur l’Ontario et le Nouveau-Brunswick
Une droite plus timorée et une gauche plus musclée mais pro-capital


je vote planète

À la question en direct de but en blanc du président de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, la porte-parole Solidaire et vedette montante de cette campagne électorale a répondu que Québec solidaire était révolutionnaire mais non socialiste, réponse énigmatique s’il en est une. Plus tard, harcelée par les médias surtout ceux anglophones dont elle maîtrise mal la langue, elle rejetait tous les étiquettes tout en refusant de rejeter clairement le vocable marxiste, ce qui fit les choux gras de la droite y compris du chef du PQ qui n’a pas craint de faire allusion au stalinisme sur la base d’informations carrément mensongères. Derrière la valse des étiquettes, ce qui préoccupe le milieu des affaires et ses médias, c’est la question des nationalisations incorporées au programme au temps de l’adolescence du parti.


Pour lire le texte complet :

L’élection québécoise enlignée sur l’Ontario et le Nouveau-Brunswick