clause dérogatoire


Le retour du boomerang de la loi 21 qui prend le peuple québécois entre le racisme et sexisme de cette loi et l’hypocrite chauvinisme anglophone

loi 21 et racisme

Le retour du boomerang de la loi 21 devant les tribunaux vient jeter une lumière crue sur la CAQ tout en renouvelant l’embarras du peuple québécois qui est ici jugé par le gouvernement fédéral nommant les juges de la Cour supérieure et de la Cour d’appel des provinces à propos d’une loi québécoise concernant la « Charte canadienne des droits et libertés » en particulier sa clause dérogatoire. Faut-il rappeler que « [t]ous les gouvernements québécois depuis 1981, autant souverainistes que fédéralistes ont refusé de donner l'accord du Québec à la Constitution du Canada telle que modifiée en 1982 » (Wikipédia, Adhésion du Québec à la Constitution du Canada) y inclus sa dite charte des droits et sa clause dérogatoire.


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Le retour du boomerang de la loi 21 qui prend le peuple québécois entre le racisme et sexisme de cette loi et l’hypocrite chauvinisme anglophone