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Fermeture de l’usine Mondelez et suppression de Ste-Marie-St-Jacques
L’identitaire vise-t-il à évacuer la solidarité prolétarienne ?

FTQ - travailleurs

Il y a moins de deux mois, la même transnationale fermait à Montréal son usine de taille semblable. Le congrès de la FTQ, réuni au moment de l’annonce de fermeture, pressa le « Bureau de direction de la FTQ pour qu’il envisage aussi rapidement que possible de lancer une campagne de boycottage des produits Mondelez, dont les biscuits Oreo, Ritz, Fins au blé, LU et Premium Plus. » Puis ce fut cries d’orfraie et chemises déchirées. Mais les deux syndicats concernés, affiliés à la FTQ, se contentèrent de vagues déclarations sans suite. Québec solidaire, après le PQ, plaida pour une coopérative sans réclamer une expropriation sans compensation comme l’exige son programme. L’éditorialiste du Devoir appela à l’ordre libre-échangiste. Puis plus rien.



Pour lire le texte complet :
De Mondelez à Ste-Marie-St-Jacques

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La fermeture de la biscuiterie de Mondalez (bis)

Le Devoir aux prolétaires : Crevez !


Usine occupée

Ce vide laisse toute la place au PQ, qui a su réagir à temps, avec sa solution non viable ce dont le rusé et cynique chef péquiste est parfaitement conscient. Il ne faut pas alors se surprendre qu’un prolétariat désespéré se jette dans les bras d’un Rambo Gauthier, sorte de Trump prolétarien. Il ne faut pas non plus s’étonner que ces milliers de personnes politisées qui ont participé aux consultations de Faut-qu’on-se-parle en aient ras-le-bol des partis politiques en faveur de moyens de démocratie directe et participative. Mais gare aux éternelles consultations sans droit de décision qui servent de plate-forme de lancement à des carrières dans des moules sclérosés.


Pour lire le texte complet :
La fermeture de la biscuiterie de Mondalez (bis)

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Fermeture de Mondelez envoyant à la rue près de 500 travailleurs
Le programme Solidaire dit : expropriation sans compensation

screamdelez

Comme le dit le programme, on s’attend à ce que le parti réclame l’expropriation sans indemnité de l’usine et que l’État offre aux syndicats concernés ou à un groupe intéressé de travailleurs de la transformer en coopérative avec évidemment un soutien financier et technique de la CDPQ, ce qui d’ailleurs est prévu à cet égard dans la plate-forme 2014. Si la CDPQ s’estime compétente pour construire et gérer un réseau sophistiqué de trains de banlieue pour 6 milliards $, elle devrait être en mesure de soutenir une usine de biscuits.


Pour lire le texte complet :
Fermeture de Mondelez envoyant à la rue près de 500 travailleurs