Voiture conventionnelle


Note et références au sujet de l'automobile hydroélectrique

Jeune fille avec pancarte Marx nature et travail


D'entrée de jeu, il y a un problème méthodologique. La voiture conventionnelle (VC) est répandue et ses effets néfastes bien établis. Celle hydroélectrique (VHÉ) en est à ses débuts et elle n'est pas encore à niveau pour les longues distances (capacité des batteries, bornes, temps de charge). Sa critique nécessite de se projeter en avant tout en ayant recours à des faits réels d'aujourd'hui. La première étape est la comparaison technique vis-à-vis l'environnement du berceau à la tombe (cycle de vie) ce qu'a fait le CIRAIG en 2016 sur commande d'Hydro-Québec pour la VHÉ vis-à-vis la VC) (http://www.hydroquebec.com/data/developpement-durable/pdf/analyse-comparaison-vehicule-electrique-vehicule-conventionnel.pdf). Cette étape démontre que la supériorité de la VHÉ est évidente mais quand même relative (voir les graphiques du sommaire) et n'existe pas pour l'épuisement des ressources naturelles. Les partisans du VHÉ rétorquent par l'optimisme technologique (https://www.ledevoir.com/opinion/idees/542717/la-voiture-electrique-une-partie-de-la-solution) ce que la réalité d'aujourd'hui ne peut techniquement ni confirmer ni infirmer. Selon ces optimistes, le recyclage éventuel de tous les minéraux employés éliminerait presque complètement la nécessité de l'exploitation minière et de ses effets délétères. On disait la même chose de l'énergie nucléaire dans les années 50 et 60... On n'oublie de mentionner l'efficacité énergétique croissante de la VC sur la route d'où la réduction de ses GES, impossible pour la VHÉ parce que déjà à zéro, ce qui relativisera davantage l'avantage de la VHÉ.

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