filière batterie


De la filière batterie au Plan d’action 2035 et au projet de loi 69
Sa croissance de néolibéralisme tronqué mène à la privatisation

Tintin décroissance

 
Si ni la réduction de GES ni la création d’emploi ne sont les buts réels du développement de la filière batterie tout en profitant d’abord et avant tout aux transnationales hors Québec, comme on l’a constaté dans l’article précédent portant sur
l’analyse de la filière batterie, qu’est-ce qui motive l’engouement des gouvernements ? La loi 69 « pour moderniser les lois entourant l’énergie » en fournit la clef. Avant d’y arriver, il faut cependant passer par la médiation du « Plan d’action 2035 » d’Hydro-Québec indispensable à la réalisation de la filière batterie.


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De la filière batterie au Plan d’action 2035 et au projet de loi 69



La filière batterie engageant l’économie du Québec dans le XXIe siècle
Le climat justifie une politique industrielle contre le peuple travailleur

Petite-nation contre graphite

 
La filière batterie entraînant le
« Plan d’action 2035 » d’Hydro-Québec et encadrée par la loi 69 « pour moderniser les lois entourant l’énergie » est de facto non seulement le cœur de la politique industrielle du Québec mais l’épine dorsale de sa politique de développement économique pour la première moitié du XXIe siècle. Comble de l’absurdité, Québec n’associe aucun objectif global ou sectoriel ni échéancier de diminution des gaz à effet de serre (GES) au développement de la filière batterie malgré un investissement à terme de 30 milliards $ !


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La filière batterie engageant l’économie du Québec dans le XXIe siècle