Nonobstant les guerres, il est minuit moins une quant à la crise climatique
Au-delà de la fin des fossiles, quel type de « sobriété » la résoudra ? 


corne abondance


Un
article de la revue savante de l’American Institute of Biosciences s’introduit par le cri d’alarme : « Nous sommes au bord d'une catastrophe climatique irréversible. Il s'agit sans aucun doute d'une urgence mondiale. Une grande partie du tissu même de la vie sur Terre est en péril. Nous entrons dans une nouvelle phase critique et imprévisible de la crise climatique. […] Nous avons maintenant amené la planète à des conditions climatiques jamais observées par nous ou par nos parents préhistoriques du genre Homo. »


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Au-delà de la fin des fossiles, quel type de sobriété la résoudra


Ce que la guerre génocidaire contre Gaza révèle au monde
La déshumanisation de « l’Orient » par « l’Occident »

 
Orient et Occident


Pour la vaste majorité des populations du vieil impérialisme « occidental », le concept d’orientalisme élaboré par l’intellectuel américano-palestinien Edward Saïd, dans la mesure où il était connu, n’avait pas de résonnance politique immédiate. Il n’en est plus ainsi depuis que le massacre génocidaire de la population gazaoui est quasi reconnu officiellement par l’institutionnel système judiciaire international. Ce massacre s’étend à la Cisjordanie et peut-être au-delà comme l’incite tous ses bombardements et incursions de l’État sioniste jusqu’au seuil d’une invasion du Liban. À contrario, les peuples rejettent ce va-t’en-guerre, même de plus en plus le peuple israélien lui-même malgré la déformation médiatique ultra-nationaliste de la guerre renforçant l’idéologie sioniste qui l’empoisonne. Loin d’être condamné par les plus importants gouvernements occidentaux à commencer par leur chef de file étatsunien, ce génocide est cautionné et soutenu sans état d’âme par leurs classes dirigeantes, ce qui décrédibilise d’a à z le bien-fondé idéologique de leur soutien intéressé et réservé à la lutte de libération nationale du peuple et du gouvernement ukrainiens contre l’envahisseur impérialisme russe. On se dit que les armes envoyées à Israël devraient être destinées à l’Ukraine sans qu’il ne soit nécessaire de hausser les dépenses militaires.


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De la filière batterie au Plan d’action 2035 et au projet de loi 69
Sa croissance de néolibéralisme tronqué mène à la privatisation

Tintin décroissance

 
Si ni la réduction de GES ni la création d’emploi ne sont les buts réels du développement de la filière batterie tout en profitant d’abord et avant tout aux transnationales hors Québec, comme on l’a constaté dans l’article précédent portant sur
l’analyse de la filière batterie, qu’est-ce qui motive l’engouement des gouvernements ? La loi 69 « pour moderniser les lois entourant l’énergie » en fournit la clef. Avant d’y arriver, il faut cependant passer par la médiation du « Plan d’action 2035 » d’Hydro-Québec indispensable à la réalisation de la filière batterie.


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La filière batterie engageant l’économie du Québec dans le XXIe siècle
Le climat justifie une politique industrielle contre le peuple travailleur

Petite-nation contre graphite

 
La filière batterie entraînant le
« Plan d’action 2035 » d’Hydro-Québec et encadrée par la loi 69 « pour moderniser les lois entourant l’énergie » est de facto non seulement le cœur de la politique industrielle du Québec mais l’épine dorsale de sa politique de développement économique pour la première moitié du XXIe siècle. Comble de l’absurdité, Québec n’associe aucun objectif global ou sectoriel ni échéancier de diminution des gaz à effet de serre (GES) au développement de la filière batterie malgré un investissement à terme de 30 milliards $ !


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La complainte de la gent étudiante juive des universités du Québec
La réalité de l’antisémitisme ne justifie pas une nouvelle Shoa

camp étudiant mcGill
 

La gent étudiante juive des universités québécoises, du moins une partie d’entre elle
, se plaint de discrimination, d’intimidation et de haine. Strictement parlant, elle n’a pas tort. L’antisémitisme trouve ses racines dans les tréfonds de la civilisation dite occidentale soit à l’ancienne à l’encontre du Juif assassin de Jésus de Nazareth soit à la moderne contre le Juif épine dorsale soit du capitalisme financier soit du communisme dépendamment de l’orientation politique de tout un chacune. En ont résulté pogroms et Holocauste. Jusqu’à ce génocide, on pouvait considérer l’antisémitisme comme le socle de tous les racismes. Peut-être l’est-il encore en catimini et sans doute inspire-t-il certaines opinions et certains gestes de ceux et celles qui appuient et luttent pour la libération nationale du peuple arabe palestinien ? Nul doute qu’il faille dénoncer ces gestes et opinions.


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