De titrer l'IRIS en réaction à la pandémie :
« Le gouvernement doit embaucher 250 000 personnes maintenant »


reprise économique bloomberg 8-20


Le 25 mars, le think-tank de la gauche québécoise, l'Institut de recherche et d'informations socio-économiques (IRIS), en réaction au confinement général du Québec, titrait son billet : « Le gouvernement doit embaucher 250 000 personnes maintenant ». L'auteur, Guillaume Hébert, devant le constat d'un soudain chômage massif en regard d'urgents besoins essentiels à combler appelait à cette création massive d'emplois afin « 1) [d']accomplir des tâches essentielles pour combattre la crise, et 2) contribuer à la relance d’une économie plus résiliente à court, moyen et long terme. » Il prévoyait que ces emplois devraient être suivis de d'autres et il préconisait que ces emplois devraient être rémunérés à 50 000 $ l'an, soit le salaire moyen au Québec, pour 25 heures de travail par semaine ce qui « pourra être revu plus tard ».



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« Le gouvernement doit embaucher 250 000 personnes maintenant »


Le Conseil national de Québec solidaire escamote la relance anti-pandémie
Le véhicule privée électrique perpétue l'extractivisme vers la catastrophe


Screenshot_2020-08-28 COVID-19 le nombre de morts en temps réel

Québec solidaire dégèle enfin son fonctionnement statutaire mais à moitié seulement en tenant un virtuel conseil national «extraordinaire» ce qui permet à la direction d'imposer son ordre du jour et de tronquer les débats au point que le cahier de propositions amendées sera connu seulement 24 heures à l'avance. Au début juin, le groupe Solidaires pour une démocratie interne (SDI), dont le Facebook enregistre 250 membres, a envoyé une missive à toutes les associations locales du parti pour réclamer un conseil national (CN) avant la fin juin suivi d'un CN normal, c'est-à-dire à ordre du jour ouvert, au début septembre. Cette demande est bien sûr caduque mais non l'ordre du jour souhaité soit un bilan du travail politique de Québec solidaire (QS) depuis le début de la crise du coronavirus (travail parlementaire, fermeture du parti, prises de position du parti) et un débat sur le plan de transition de QS et sa révision ainsi que sur le projet d’un «
plan de relance post-crise du coronavirus ». De plus, récemment, certains membres de SDI ont soulevé des questions de procédure concernant le déroulement du CN qui ne dure qu'une journée, ne permet pas de clavardage entre les personnes déléguées et refoule celles observatrices à l'écoute téléphonique uniquement.


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Le Conseil national de Québec solidaire escamote la relance anti-pandémie