loisir motorisé


À propos de la culture dite populaire des « chars » et des « ski-doo »
Une culture découlant d'un système imposé d'accumulation consommatrice

motoneige et skis de fond



Récemment Québécor a piégé les porte-parole de Québec en triturant leurs propos pour leur faire dire que le parti s'opposait aux motoneiges, ce que le parti s'est empressé de nier, pour ensuite faire du spin mensonger sur le sujet. Ce comportement immoral fait partie de la guerre médiatique de classe des oligopoles médiatiques contre la gauche. Il est indéniable que tous les véhicules hors route dédiés au loisir populaire, dont des versions existent tant sur terre que sur l'eau que pour toutes les saisons, sont de petits enfers ambulants de pollution de toutes sortes. Non seulement crachent-il des gaz à effet de serre (GES) plus que proportionnellement à leurs poids mais ils font résonner forêts (et lacs) de leurs insupportables pétarades tout en les charcutant au détriment de la faune animalière et à celui des usages authentiquement sportifs et naturalistes. Car ces loisirs motorisés n'encouragent en rien la bonne santé mais plutôt l'obésité et la surdité. Est-ce que ces loisirs motorisés relèvent de choix éclairés et libres du peuple travailleur ?


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À propos de la culture dite populaire des « chars » et des « ski-doo »