La guerre génocidaire du sionisme cristallise la crise civilisationnelle
Les camps étudiants, lueur d’un nouveau monde à faire resplendir 

De la rivière à la mer

 
Les camps étudiants contre la guerre génocidaire du gouvernement sioniste, qui ont fini par poindre au Québec, sont la conscience humaniste d’un monde capitaliste sans rémission gagné jusqu’à son tréfonds par la course au profit et le culte de l’argent, corrompu jusqu’à la moelle par l’idéologie néolibérale du chacun pour soi et au diable la catastrophe, à l’aise avec des chefs à poigne qui tonitruent les droits humains tout en faisant taire les humanitaires qui les empêchent de tourner en rond. Les partis politiques n’ont de cesse de s’ajuster à ce monde en chamaille où la guéguerre des grands garçons, pour régner sur les gangs qui paralysent les compatissantes, jouent à la roulette russe avec le sort du monde. Les guerres polarisantes tassent dans la marge tant la centralité politique que l’allocation des ressources pour la course éperdue de la terre-mère vers la terre-étuve.


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