1998
1er juin 2007 Liban et Ukraine : Pour masquer l’échec impérialiste : la stratégie du chaos Le Liban comme l'Ukraine, chacun à leur manière, sont sur la ligne de front de l'offensive du néolibéralisme guerrier. Au Liban, il s'agit de manipuler un groupe fondamentaliste musulman réactionnaire pour compromettre les forces anti-impérialistes qui ne sont pas pour autant des forces progressistes même s’il faut faire une différence qualitative entre les gouvernements iranien et syrien et une organisation de libération nationale comme le Hezbollah. Idem en Ukraine contre la résurgence anti-impérialiste de la Russie dont le capitalisme mafieux et antidémocratique n'est plus à souligner. Cet affrontement déstabilise, à divers degrés, ces deux pays sur le dos de leur peuple et, au Liban, particulièrement sur le dos des réfugiés palestiniens. Pour lire le texte complet : Liban et Ukraine : Pour masquer l’échec impérialiste : la stratégie du chaos Le Liban comme l'Ukraine, chacun à leur manière, sont sur la ligne de front de l'offensive du néolibéralisme guerrier. Au Liban, il s'agit de manipuler un groupe fondamentaliste musulman réactionnaire pour compromettre les forces anti-impérialistes qui ne sont pas pour autant des forces progressistes même s’il faut faire une différence qualitative entre les gouvernements iranien et syrien et une organisation de libération nationale comme le Hezbollah. Idem en Ukraine contre la résurgence anti-impérialiste de la Russie dont le capitalisme mafieux et antidémocratique n'est plus à souligner. Cet affrontement déstabilise, à divers degrés, ces deux pays sur le dos de leur peuple et, au Liban, particulièrement sur le dos des réfugiés palestiniens. Pour lire le texte complet :
16/11/98 /22:07 /
16 novembre 1998
Revenu de citoyenneté ou Revenu minimum garanti
Dans les numéros de septembre et octobre de l'Aut'Journal, Michel Bernard, Michel Chartrand et Paul Cliche lancent une campagne en faveur du revenu de citoyenneté, c'est-à-dire « un revenu distribué de façon égalitaire et inconditionnelle, cumulable avec les autres revenus, mais assez substantiel pour radier le risque du manque des biens premiers, pour réaliser l'objectif de la pauvreté zéro (revenu d'existence). » Bien sûr, à aucun moment donné, les auteurs n'alignent quelque chiffre que ce soit. Faisons-le à leur place pour fixer les idées.
Minimum garanti ou revenu de citoyenneté
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Revenu de citoyenneté ou Revenu minimum garanti
Dans les numéros de septembre et octobre de l'Aut'Journal, Michel Bernard, Michel Chartrand et Paul Cliche lancent une campagne en faveur du revenu de citoyenneté, c'est-à-dire « un revenu distribué de façon égalitaire et inconditionnelle, cumulable avec les autres revenus, mais assez substantiel pour radier le risque du manque des biens premiers, pour réaliser l'objectif de la pauvreté zéro (revenu d'existence). » Bien sûr, à aucun moment donné, les auteurs n'alignent quelque chiffre que ce soit. Faisons-le à leur place pour fixer les idées.
Minimum garanti ou revenu de citoyenneté
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20/08/98 /22:03 /
20 août 1998
Les barricades de Listuguj,
Une victoire pour les peuples mi'gmaq et québécois
La lutte des Mi'gmaq de Listuguj leur aura permis de tripler leur allocation de bois à couper, de 10 000 mètres cubes à 30 000. Bien que ce modeste gain économique soit très loin de leur demande originale de 160 000 mètres cubes, soit le volume de bois annuel utilisé par la seule scierie GDS tout à côté de la réserve et objet d'un des deux blocages avec la route 132, il n'est pas rien pour une communauté où le taux de chômage est d'environ 75%. Reste que 110 emplois saisonniers ne résoudront pas le sous-développement de la communauté mi'gmaq de Listuguj ni la question de leurs droits territoriaux, toutes deux au cœur des revendications et du combat des nationalistes, dit traditionalistes, de Listuguj, sous la direction de l'entrepreneur Gary Metallic, leur chef héréditaire depuis 1990.
Pour lire le texte complet : Les barricades de Listuguj
Les barricades de Listuguj,
Une victoire pour les peuples mi'gmaq et québécois
La lutte des Mi'gmaq de Listuguj leur aura permis de tripler leur allocation de bois à couper, de 10 000 mètres cubes à 30 000. Bien que ce modeste gain économique soit très loin de leur demande originale de 160 000 mètres cubes, soit le volume de bois annuel utilisé par la seule scierie GDS tout à côté de la réserve et objet d'un des deux blocages avec la route 132, il n'est pas rien pour une communauté où le taux de chômage est d'environ 75%. Reste que 110 emplois saisonniers ne résoudront pas le sous-développement de la communauté mi'gmaq de Listuguj ni la question de leurs droits territoriaux, toutes deux au cœur des revendications et du combat des nationalistes, dit traditionalistes, de Listuguj, sous la direction de l'entrepreneur Gary Metallic, leur chef héréditaire depuis 1990.
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04/06/98 /19:59 /
4 juin 1998
Le manifeste du RAP
Rupture avec le PQ ou retour au nationalisme social-démocrate ?
Certes, être de gauche signifie être contre les coupures, l'exclusion, la privatisation et le libre-échange comme l'affirme la proposition de manifeste du RAP rejetée par l'Assemblée de fondation. Mais la solution programmatique à cette opposition repose-t-elle dans un « État limit[ant] les lois du marché… » ? Le but stratégique du RAP serait-il un capitalisme à visage humain, un retour à l'État keynésien idéalisé des trente glorieuses (1945-1975) ? Sa tâche politique se résumerait-elle alors soit à combattre les abus commis par les forces du marché (les banques, les transnationales) ou à faire pression sur l'État pour qu'il joue son rôle redistributif en faveur des exclus ?
Pour lire le texte complet : Manifeste du RAP, quelle rupture
Le manifeste du RAP
Rupture avec le PQ ou retour au nationalisme social-démocrate ?
Certes, être de gauche signifie être contre les coupures, l'exclusion, la privatisation et le libre-échange comme l'affirme la proposition de manifeste du RAP rejetée par l'Assemblée de fondation. Mais la solution programmatique à cette opposition repose-t-elle dans un « État limit[ant] les lois du marché… » ? Le but stratégique du RAP serait-il un capitalisme à visage humain, un retour à l'État keynésien idéalisé des trente glorieuses (1945-1975) ? Sa tâche politique se résumerait-elle alors soit à combattre les abus commis par les forces du marché (les banques, les transnationales) ou à faire pression sur l'État pour qu'il joue son rôle redistributif en faveur des exclus ?
Pour lire le texte complet : Manifeste du RAP, quelle rupture