De titrer l'IRIS en réaction à la pandémie :
« Le gouvernement doit embaucher 250 000 personnes maintenant »


reprise économique bloomberg 8-20


Le 25 mars, le think-tank de la gauche québécoise, l'Institut de recherche et d'informations socio-économiques (IRIS), en réaction au confinement général du Québec, titrait son billet : « Le gouvernement doit embaucher 250 000 personnes maintenant ». L'auteur, Guillaume Hébert, devant le constat d'un soudain chômage massif en regard d'urgents besoins essentiels à combler appelait à cette création massive d'emplois afin « 1) [d']accomplir des tâches essentielles pour combattre la crise, et 2) contribuer à la relance d’une économie plus résiliente à court, moyen et long terme. » Il prévoyait que ces emplois devraient être suivis de d'autres et il préconisait que ces emplois devraient être rémunérés à 50 000 $ l'an, soit le salaire moyen au Québec, pour 25 heures de travail par semaine ce qui « pourra être revu plus tard ».



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« Le gouvernement doit embaucher 250 000 personnes maintenant »

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Budget carbone du Québec selon l’IRIS
Quel danger de décroissance économique ?

 
Deux enfants

Sur la base du concept de « budget carbone » bien vulgarisé, la brève note de recherche de l’IRIS (Le budget carbone du Québec, décembre 2013) démystifie la bonne performance du Québec en termes d’émission de gaz à effet de serre (GES).  Les émanations de GES québécoises par habitant, certes sensiblement inférieures à celles des ÉU et du Canada, sont bien supérieures à la moyenne mondiale et même à celle de l’Union européenne.  Surtout, nos émanations de GES sont bien au-delà de la quote-part québécoise qu’il faudrait respecter pour que le réchauffement climatique ne dépasse pas de deux degrés centigrades le niveau préindustriel (il le dépasse déjà de presque un degré).  C’est, selon le GIEC, le seuil maximum à ne pas franchir (plusieurs scientifiques pensent qu’il serait plutôt de 1.5 degré) pour que les rétroactions ne créent pas un emballement incontrôlable qui pointe déjà le bout du nez sous forme de phénomènes climatiques extrêmes dont l’un n’attend plus l’autre. 

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Budget carbone du Québec selon l'IRIS