29 novembre 2000

Que faire après Seattle et Québec ?



Cet essai, qui bien sûr n’engage que son auteur, provient d’une réflexion à partir des débats sur la situation mondiale et les résistances tenus lors du Comité exécutif international (CEI) de la Quatrième Internationale, en octobre-novembre 2000. Il souffre certainement d’être basé dur des informations très parcellaires.

Pour lire le texte complet : Que faire après Seattle et Québec

Septembre 2000
Une alternative au système de libre-échange :
La prise en charge de la société par le peuple travailleur



Comme il est souligné dans le document de consultation de l’Assemblée nationale, le projet de la Zone de libre-échange des Amériques (ZLÉA) est un «ALÉNA 2» étant entendu que «de nombreuses dispositions [de l’ALÉNA] vont bien au-delà de celles de l’OMC.». Poser la question de la pertinence de la ZLÉA c’est donc faire le bilan du libre-échange réellement existant des années 90, surtout dans les Amériques.


Pour lire le texte complet :
Une alternative au système de libre-échange

Juin 2000
Comment faire l’unité d’action des mouvements sociaux ?
Loi anti-pauvreté ou campagne des 10 milliards ?



Au colloque sur l’unité de la gauche du 27 mai, le PDS a mis de l’avant deux points essentiels :

l’unité d’action des mouvements sociaux et politiques sur la base de campagnes communes que nous proposons être la campagne pour un réinvestissement d’au moins 10 milliards $ pour combler le déficit social maintenant et la campagne pour un scrutin proportionnel ;

l’unité de la gauche politique dans un seul parti radicalement démocratique donc multi-tendances et multi-sections — c’est-à-dire permettant des adhésions individuel et de groupes — sur la base de l’adhésion à un programme anti-capitaliste, indépendantiste, féministe, écologiste et internationaliste.


Pour lire le texte complet : Loi anti-pauvreté

2000

Contre la Zone de libre-échange des Amériques (ZLÉA)
Une alternative populaire au système de libre-échange




Le 5 octobre 2000, le Parti de la démocratie socialiste (Québec) a présenté un mémoire au sujet de la Zone de libre-échange des Amériques (ZLÉA) à l’Assemblée nationale du gouvernement du Québec. On peut en lire la version complète d’une douzaine de pages sur le site Internet du PDS (http://www.microtec.net/~partids). En voici les points essentiels en 2 pages :

Pour lire le texte complet : Libre-échange et alternatives

4 mars 2000

Le budget fédéral de l’an 2 000
Du déficit zéro au remboursement de la dette comme priorité budgétaire



Le gouvernement fédéral baigne dans une période de prospérité, la plus longue croissance depuis les années 60 et qui serait la plus longue depuis la Deuxième guerre n’eut été de la décroissance du seul deuxième trimestre de 1995. Comme si ce n’était pas suffisant, il est en train de se noyer dans un important excédent des recettes réelles sur les dépenses réelles de 12 milliards $ (12 M$) pour la seule année 1999-2000, le quatrième excédent de suite, une première depuis 50 ans.


Pour lire le texte complet : Budget fédéral 2000-01

24 janvier 2000
Le revenu de citoyenneté comme phénomène canado-québécois au secours d’un capitalisme néolibéral qui court à sa perte malgré ses apparences de prospérité



Le revenu de citoyenneté n’est non pas une revendication parmi d’autres mais un projet de société en soi. L’application telle quelle de la définition de Bernard et Chartrand au Québec impliquerait une redistribution de la moitié de la production nationale québécoise. Son coût brut équivaudrait à environ la totalité des dépenses gouvernementales, fédérales et québécoises, faites au Québec.

Le revenu de citoyenneté comme phénomène canado-québécois
Pour lire le texte complet :

Décembre 1999 – janvier 2000

L’état du Canada et du Québec en l’an 2 000
Une solidarité militante à rebâtir


L’accession au pouvoir des gouvernements libéral à Ottawa, en 1993, et péquiste à Québec, en 1994, a concrétisé l’application pleine vapeur de la politique néolibérale du déficit zéro inaugurée au début 1993 par le gouvernement Klein de l’Alberta puis relayées par le gouvernement Harris à partir de 1995. Dans les années 1990, le Canada a été le pays du G7 (ÉU, Japon, Allemagne, France, Grande-Bretagne, Italie, Canada) qui a appliqué avec le plus de brutalité cette politique de coupures : de
moins 8% du PIB en 1992, l’ensemble des déficits publics du Canada passeront à plus 2% en l’an 2000 alors que la moyenne du G7, Canada compris, passera de moins 4% à moins 2%.


Pour lire le texte complet :
Canada 2000