Semaine autochtone chargée non reflétée dans les médias
La relation avec le gouvernement caquiste empire dangereusement

Femmes autochtones en pleurs

 
Les gens de gauche qui veulent être bien renseignés à propos de la question autochtone et inuit ont tout avantage à consulter la section « Espaces autochtones » de Radio-Canada quitte à s’abonner à son infolettre hebdomadaire.
La dernière lettre est riche d’informations donnant mal au cœur à tout démocrate.


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Semaine autochtone chargée non reflétée dans les médias

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De la manif du coquelicot blanc à celle contre l’oléoduc Enbridge
Dans la rue, la droite dame le pion à la gauche

 
sourire autochtone

Photos à : https://picasaweb.google.com/110537867786455303075/ManifCoquelicotsEtEnbridge11161113#
 
À l’occasion du jour du souvenir, ce 11 novembre, quelques dizaines de personnes répondaient à l’appel d’Échec à la guerre pour contrer la très militariste cérémonie du souvenir laquelle, à Montréal, se tenait sur le campus de l’Université McGill… dans l’antique Golden Square Mile au pied de la montagne, coups de canon compris.  La poignée de manifestantes — Honneur aux combattantes de la résilience ! — ne faisait pas le poids face au rassemblement d’en face. 

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De la manif du coquelicot blanc à celle contre Enbridge

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Réaction à l’article “Choosing Not to Look Away: Confronting Colonialism in Canada”
 
Où est le Québec ?

 Solidarité autochtone
Comme presque toujours quand la gauche anticapitaliste canadienne anglaise traite de la question nationale aborigène, elle ignore totalement la question nationale québécoise alors qu'il s'agit bien de traiter les rapports entre nations au sein du Canada.  On a l'impression que la contradiction stratégique canadienne soit celle entre peuples aborigènes et l'ensemble des autres peuples.  Pourtant une analyse de la formation de l'État canadien démontre que, stratégiquement parlant, la question de la lutte pour l'indépendance du Québec en est, d'un point de vu anticapitaliste, le maillon faible (voir mon essai, Perspective québécoise : nation et impérialisme néolibéral, ESSF, 12/09/04).

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Réaction

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S’indigner du dénigrement raciste des peuples autochtones

Non au plan Nord

 
Il s’indigner contre le dénigrement raciste des peuples autochtones pour raisons de corruption de certains conseils de bande.  Il est bon de se rappeler que ces conseils, création de la Loi des Indiens, n’ont à rendre des comptes qu’au seul Ministère des affaires indiennes lequel est la seule source de leurs revenus, pour lesquels il leur demande un tas de rapports, pour répondre non seulement aux besoins d’infrastructure mais aussi à l’ensemble de leurs besoins sociaux. 

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Proposition autochtone et idle no more

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« Idle no more » et le jeûne de la chef d’Attawapiskat
Une invitation d’alliance des peuples opprimés et du prolétariat
 Le grand timonier harper

Il ne faut pas sous-estimer l’importance politique du jeûne de la chef autochtone d’Attawispiskat qui s’inscrit dans le mouvement « Idle no more ».  Il n’attire pas l’attention des grands médias anglo-canadiens pour rien.  L’article d’opinion du Toronto Star ci-contre en explique l’importance d’un point de vue « canadien ».  Le commentaire de Noami Klein dans le Globe and Mail, journal « par excellence » de la bourgeoisie canadienne, aussi traduit ci-contre, met à nue la portée réactionnaire de la crudité rentière de l’insertion de la bourgeoisie canadienne dans la globalisation néolibérale.  Du point de vue du peuple québécois, la pertinence politique en est décuplée puisque qu’il s’agit aussi on ne peut plus clairement d’une question d’oppression nationale ce qui en démultiplie les enjeux de justice sociale et écologiques.  Il appartient aux grandes organisations politiques et sociales du Québec, qui se réclament de la gauche, du féminisme et de l’indépendance nationale, de s’emparer de toute urgence de la lutte immensément courageuse de cette femme autochtone.  Il faut saisir la balle au bond. 
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Idle no more