révolution industrielle


Le néolibéralisme, coincé entre des services avares de productivité et une demande insolvable de produits essentiels, fait appel au capitalisme vert

Homme-Balancier

Mon dernier article,
La place du Québec dans la nouvelle division du travail tout électrique, portait sur la stratégie tout électrique de la bourgeoisie mondiale pour mater la crise climatique, les contradictions auxquelles fait face le capitalisme pour y arriver, le recours à l’impraticable captation-séquestration du carbone pour résoudre ces contradictions et la place du Québec comme porteur d’eau et scieur de bois dans cette nouvelle division internationale du travail. Il s’agit maintenant de débusquer le jovialisme du capitalisme vert, de constater son cul-de-sac comme stratégie et même ses reculades effectives. Cette dissection critique du capitalisme vert devrait nous mener à l’orée d’une alternative conforme aux constats scientifiques du GIEC-ONU et dégageant tant les moyens à déployer que les rapports sociaux à dégager.


Pour lire le
texte complet :

Le néolibéralisme, coincé entre des services avares de productivité et une...e vert