productivité
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28/02/14 /08:25 /
Débat sur la piètre productivité de l'économie québécoise
De quelle productivité parle-t-on ?
Dans un texte précédent, on a vu que la carence de productivité de l'économie québécoise, mise en évidence par le bilan 2013 du Centre de la productivité et de la prospérité de l'École des Hautes études commerciales de Montréal et très commentée dans les milieux économiques, s'explique en dernière analyse par l'oppression nationale du peuple québécois. Les décisions stratégiques, tant économiques que politiques, des centres financier et politique de la bourgeoisie canadienne ont systématiquement coupé les ailes au développement économique du Québec. Si l'on peut de cette analyse tirer la conclusion de la nécessité de la lutte pour l'indépendance non seulement pour des raisons constitutionnelles et culturo-linguistiques mais aussi économiques et financières, on ne peut pas pour autant en déduire le contenu socio-économique ou le « projet de société » lié à cette lutte.
Pour lire le texte complet :
De quelle productivité
De quelle productivité parle-t-on ?
Dans un texte précédent, on a vu que la carence de productivité de l'économie québécoise, mise en évidence par le bilan 2013 du Centre de la productivité et de la prospérité de l'École des Hautes études commerciales de Montréal et très commentée dans les milieux économiques, s'explique en dernière analyse par l'oppression nationale du peuple québécois. Les décisions stratégiques, tant économiques que politiques, des centres financier et politique de la bourgeoisie canadienne ont systématiquement coupé les ailes au développement économique du Québec. Si l'on peut de cette analyse tirer la conclusion de la nécessité de la lutte pour l'indépendance non seulement pour des raisons constitutionnelles et culturo-linguistiques mais aussi économiques et financières, on ne peut pas pour autant en déduire le contenu socio-économique ou le « projet de société » lié à cette lutte.
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De quelle productivité
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18/02/14 /18:32 /
L'hystérie du « Québec dans le rouge » de la veille du budget
Derrière la carence de productivité : la question nationale
Malgré ce que le Centre de la productivité et de la prospérité de l'École des Hautes études commerciales (HEC) de Montréal considère comme une contre-performance mondiale y compris au sein des pays de l'OCDE, la productivité de la force de travail québécoise s'est accrue de 50% depuis 1981. De 1961 à 2004, le PIB canadien par habitant, corrigé de l’inflation, a été multiplié par 2.6. Pourtant dans les années 60 et début 70, le Québec, avec une productivité d'environ deux fois moins grande et un taux de dépendance démographique plus important, dû au baby boom et non au baby bust d'aujourd'hui, a construit un éventail impressionnant d'infrastructures publiques et s'est doté d'une panoplie de services publics et de programmes sociaux. « Au début des années 60, Jean Drapeau a livré 26 km de métro et 26 stations en 4 ans à peine, avec l’argent et les ressources techniques de la Ville. Montréal n’était pas plus riche dans les années 60 qu’aujourd’hui ». On se dit qu'un Québec indépendant sans rapports antagoniques avec ses voisins aurait amplement les moyens du plein emploi écologique... à condition de se rappeler que l'argent est dans les banques et consorts y compris celles de l'ombre.
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Derrière la carence
Derrière la carence de productivité : la question nationale
Malgré ce que le Centre de la productivité et de la prospérité de l'École des Hautes études commerciales (HEC) de Montréal considère comme une contre-performance mondiale y compris au sein des pays de l'OCDE, la productivité de la force de travail québécoise s'est accrue de 50% depuis 1981. De 1961 à 2004, le PIB canadien par habitant, corrigé de l’inflation, a été multiplié par 2.6. Pourtant dans les années 60 et début 70, le Québec, avec une productivité d'environ deux fois moins grande et un taux de dépendance démographique plus important, dû au baby boom et non au baby bust d'aujourd'hui, a construit un éventail impressionnant d'infrastructures publiques et s'est doté d'une panoplie de services publics et de programmes sociaux. « Au début des années 60, Jean Drapeau a livré 26 km de métro et 26 stations en 4 ans à peine, avec l’argent et les ressources techniques de la Ville. Montréal n’était pas plus riche dans les années 60 qu’aujourd’hui ». On se dit qu'un Québec indépendant sans rapports antagoniques avec ses voisins aurait amplement les moyens du plein emploi écologique... à condition de se rappeler que l'argent est dans les banques et consorts y compris celles de l'ombre.
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Derrière la carence