Les GES ne plafonnent pas mais croissent à un taux croissant
Contre la bourgeoisie suicidaire le mouvement écologiste s’unifie

Fleurir et vivre
 
 
Régulièrement les grands médias annoncent le plafonnement ou la baisse des émanations des gaz à effet de serre (GES), La Presse pour le Canada, le Washington Post pour la Chine, The Economist pour l’Europe, le New York Times pour le monde. Et pourtant il n’en est rien. Cette baisse ou ce plafonnement ou tout simplement une décélération de la hausse du CO2, le principal GES, on ne la voit pas quand on examine l’évolution de l’étalon de mesure par excellence soit celle de l’observatoire de Mauna Loa à Hawaï qui enregistre la densité du CO2 depuis 1958. Au XXIe siècle, la réalité a plutôt été une accélération du taux de croissance de chaque décennie (ligne noire). La baisse du taux de croissance des premières années de la présente décennie s’explique par l’effet de la pandémie. Mais le record de 2023 vient effacer toute illusion :

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Les GES croissent à un taux croissant car le capitalisme l’exige

Congrès 2019 de Québec solidaire
Tassement à droite sous un masque de radicalité indépendantiste

Planète en grève bis


Le congrès Solidaire de novembre 2019 recelait un certain nombre de décisions non banales à prendre telles le recours à l'écofiscalité comme moyen central de financement du Plan de transition du parti, la stratégie indépendantiste sous couvert de quelle politique transitoire jusqu'au référendum constitutionnel d'un Québec indépendant qui doit avoir lieu à l'intérieur du premier mandat, le pays sans ou avec armée sans compter les modifications statutaires concernant l'aile parlementaire, sujet devenu viral avec l'affaire de l'investiture pour l'élection partielle de la circonscription de Jean-Talon à Québec, et la question de la Commission nationale autochtone surgissant comme un cheveu sur la soupe.


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Congrès 2019 de Québec solidaire