La crise politique canadienne muera en crise existentielle
Le désarroi des Libéraux et la division des provinces en sont le début

ACEUM

 
La crise politique canadienne ne fait que commencer. L’alliance Libéral-NPD était chambranlante depuis longtemps face à la nette dominance des Conservateurs dans les sondages. Le NPD, percevant que cette alliance l’entraînait dans les bas-fonds électoraux, l’a rompu formellement pour mieux la préserver à la pièce dans l’attente de bons sondages résultant de sa nouvelle tactique… mais les récents rebondissements précipitent la rupture. Puis vint la victoire de Trump qui ébranla les gouvernements du Canada jusqu’au tréfonds tout en créant l’illusion que la parenté idéologique Conservateur-Républicain amoindrirait le mal. Puis en rajouta le coup de massue de la menace de hausse des tarifs de 25% pour les deux partenaires de l’ACEUM accompagné de l’humour noir du cinquante-et-unième état pour tourner le fer dans la plaie. Le coup fourré de la ministre des Finances précipite les évènements. Le remaniement ministériel n’est que cosmétique. Il faut s’attendre à une élection au plus tard ce printemps.


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Un jour férié imposé au Canada honteux et récusé par le Québec identitaire
Une rencontre ratée de deux peuples opprimés divisés par le fédéralisme

Traumatisme horreur église

Face à la tragédie génocidaire des pensionnats autochtones qui démasque l’hypocrisie mensongère du libéralisme fédéral canadien dont le trudeauisme est le pinacle, en particulier face à la résonnance mondiale de ce crime, le gouvernement fédéral s’est vu contraint d’instaurer un nouveau jour férié. Le 30 septembre 2021 a été la première « 
Journée nationale de la vérité et de la réconciliation ». Le premier ministre Trudeau en a profité pour prendre des vacances, pied-de-nez durement ressenti par la communauté autochtone et qu’il n’aurait jamais osé faire aux vétérans le Jour du souvenir ! Si les provinces « liberal », y compris celles aux gouvernements « progressistes-conservateurs » ont suivi l’exemple fédéral, celles populistes-conservatrices comptant pour la grande majorité de la population canadienne (Ontario, Québec, Alberta, Saskatchewan, Nouveau-Brunswick) ne l’ont pas fait.


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