Centre de la productivité et de la prospérité
****************************
18/02/14 /18:32 /
L'hystérie du « Québec dans le rouge » de la veille du budget
Derrière la carence de productivité : la question nationale
Malgré ce que le Centre de la productivité et de la prospérité de l'École des Hautes études commerciales (HEC) de Montréal considère comme une contre-performance mondiale y compris au sein des pays de l'OCDE, la productivité de la force de travail québécoise s'est accrue de 50% depuis 1981. De 1961 à 2004, le PIB canadien par habitant, corrigé de l’inflation, a été multiplié par 2.6. Pourtant dans les années 60 et début 70, le Québec, avec une productivité d'environ deux fois moins grande et un taux de dépendance démographique plus important, dû au baby boom et non au baby bust d'aujourd'hui, a construit un éventail impressionnant d'infrastructures publiques et s'est doté d'une panoplie de services publics et de programmes sociaux. « Au début des années 60, Jean Drapeau a livré 26 km de métro et 26 stations en 4 ans à peine, avec l’argent et les ressources techniques de la Ville. Montréal n’était pas plus riche dans les années 60 qu’aujourd’hui ». On se dit qu'un Québec indépendant sans rapports antagoniques avec ses voisins aurait amplement les moyens du plein emploi écologique... à condition de se rappeler que l'argent est dans les banques et consorts y compris celles de l'ombre.
Pour lire le texte complet :
Derrière la carence
Derrière la carence de productivité : la question nationale
Malgré ce que le Centre de la productivité et de la prospérité de l'École des Hautes études commerciales (HEC) de Montréal considère comme une contre-performance mondiale y compris au sein des pays de l'OCDE, la productivité de la force de travail québécoise s'est accrue de 50% depuis 1981. De 1961 à 2004, le PIB canadien par habitant, corrigé de l’inflation, a été multiplié par 2.6. Pourtant dans les années 60 et début 70, le Québec, avec une productivité d'environ deux fois moins grande et un taux de dépendance démographique plus important, dû au baby boom et non au baby bust d'aujourd'hui, a construit un éventail impressionnant d'infrastructures publiques et s'est doté d'une panoplie de services publics et de programmes sociaux. « Au début des années 60, Jean Drapeau a livré 26 km de métro et 26 stations en 4 ans à peine, avec l’argent et les ressources techniques de la Ville. Montréal n’était pas plus riche dans les années 60 qu’aujourd’hui ». On se dit qu'un Québec indépendant sans rapports antagoniques avec ses voisins aurait amplement les moyens du plein emploi écologique... à condition de se rappeler que l'argent est dans les banques et consorts y compris celles de l'ombre.
Pour lire le texte complet :
Derrière la carence