plateforme électorale 2022


Proposition de points saillants pour la plateforme de Québec solidaire
De l’audace pour une cible à la Greta Thunberg de 67% et non de 45%

Ça va bien brûler

« Pour lutter contre les changements climatiques, Québec solidaire s’engage à adopter une Loi sur le climat pour réduire d’au moins 45 % les gaz à effet de serre par rapport au niveau de 1990, d’ici 2030, en vue d’atteindre la carboneutralité au plus tard en 2050. » Tel est l’incroyable première phrase de la proposition de plateforme électorale 2022 de Québec solidaire qui sera soumise au congrès de novembre 2021. Québec solidaire, qui se vante de son parti-pris climatique, propose au peuple québécois de faire le service minimum requis par le rapport 1.5°C du GIEC-ONU de 2018, pourtant relativement moins alarmiste que celui d’août dernier. Rappelons que le congrès Solidaire de 2016 avait fixé une cible de 67% que le Conseil national du printemps 2018 a réduit à 45% pour soi-disant motif d'urgence afin de se conformer au plan de réduction de GES de 2018 jamais ni discuté dans les instances de base du parti ni encore moins ratifié par un congrès ou un conseil national… et abandonné depuis lors.

Pour lire le texte complet :

Proposition de points saillants pour la plateforme de Québec solidaire-1


Une proposition d'axe de la campagne électorale 2022 de Québec solidaire :
Une société pro-climat de prendre soin des gens et de la terre-mère

Capitalisme épuise terre et humain


Québec solidaire a lancé le processus de construction de sa plateforme pour l'élection de l'automne 2022. Le Conseil national de mai 2021 en déterminera les axes prioritaires et le Congrès de l'automne 2021 finalisera le tout.

La crise pandémique sur fond d'aggravation de la crise climatique a démontré que la raison d'être de l'économie devrait être de prendre soin des gens et de la terre-mère en comblant d'urgence les besoins essentiels (nourriture saine, logement adéquat, soins de santé à temps, soutien social) dans une optique de reproduction et de développement de l'espèce humaine sans compromettre l’écosystème terrestre. Nos gouvernements, au contraire, en accord avec le capital financier et transnational, veulent plutôt « sauver l'économie », c'est-à-dire les profits, aux dépens de la santé publique tout en compromettant la lutte pour le climat et la biodiversité afin de sauvegarder l'hégémonie du « marché » quitte à prendre le risque à très haute probabilité de déclencher une dynamique de terre-étuve qui mettra fin à la civilisation d'ici 2100 si ce n'est avant.


Pour lire le texte complet :

Une proposition d'axe de la campagne électorale 2022 de Québec solidaire