Les GES ne plafonnent pas mais croissent à un taux croissant
Contre la bourgeoisie suicidaire le mouvement écologiste s’unifie

Fleurir et vivre
 
 
Régulièrement les grands médias annoncent le plafonnement ou la baisse des émanations des gaz à effet de serre (GES), La Presse pour le Canada, le Washington Post pour la Chine, The Economist pour l’Europe, le New York Times pour le monde. Et pourtant il n’en est rien. Cette baisse ou ce plafonnement ou tout simplement une décélération de la hausse du CO2, le principal GES, on ne la voit pas quand on examine l’évolution de l’étalon de mesure par excellence soit celle de l’observatoire de Mauna Loa à Hawaï qui enregistre la densité du CO2 depuis 1958. Au XXIe siècle, la réalité a plutôt été une accélération du taux de croissance de chaque décennie (ligne noire). La baisse du taux de croissance des premières années de la présente décennie s’explique par l’effet de la pandémie. Mais le record de 2023 vient effacer toute illusion :

Pour lire le
texte complet :

Les GES croissent à un taux croissant car le capitalisme l’exige