****************************


La CDPQ adore pétrole et paradis fiscaux mais ne finance pas les aspects rentables d’un plan de sortie du pétrole

À vendre - système québécois

Consternée, mais sans que la gauche politique et sociale du Québec ne relèvent le gant, le peuple québécois découvre que la Caisse de dépôt et de placement du Québec (CPDQ) investit de plus en plus dans les entreprises liées au pétrole, particulièrement au pétrole sale, et non pas de moins en moins comme le font plusieurs fonds de placement aiguillonnés par la jeunesse universitaire. Cette mentalité de rentabilité maximum dut-elle détraquer la civilisation se conjugue à la propension de la CDPQ à placer ses sous de plus en plus dans les paradis fiscaux... se moquant du rapport de la députation, même libérale !, allant dans le sens contraire... au point d’émouvoir jusqu’au nouvel éditorialiste du Devoir. Décidément, la Caisse n’a plus de retenu au point de devenir une accapareuse de terres agricoles conjointement avec le larron Fonds de solidarité de la FTQ. Pareil comportement antisocial et anti-écologique ne mérite-il pas une faramineuse rémunération de ses dirigeants ?


Pour lire le texte complet :
La CDPQ se fout des GES et adore les paradis fiscaux

****************************


Face à la nauséabonde compétition identitaire entre le PQ et la CAQ
Québec solidaire renonce au projet de société indépendantiste


Contre identitarisme

On peut être assuré que si un tel Plan vert contre les hydrocarbures et pour le plein emploi écologique devenait l’épine dorsale du discours réellement existant de Québec solidaire d’ici les prochaines élections, il ferait du parti le fer de lance dirigeant du camp écolo-indépendantiste en mesure de rallier tant la gauche que les indépendantistes en passant bien sûr par les écologistes. On ne voit pas pourquoi il ne rallierait pas, bien au contraire, Faut-qu’on-se-parle, Option nationale et l’ensemble du mouvement social peu importe le mode d’emploi de cette unité retrouvée. Ce plan reléguerait le PQ au musée de l’Histoire tout en récupérant, à moins qu’elle ne soit suicidaire, son aile gauche. Last but not least, il libérerait le Québec des Libéraux tout en évitant le piège identitaire du duo nauséabond CAQ-PQ qui pourrait être bien pire.

Il y a quarante ans, dans l’euphorie de la conquête de la majorité parlementaire par le Parti québécois, le nouveau Premier ministre de s’exclamer « On n'est pas un petit peuple, on est peut-être quelque chose comme un grand peuple! ». Une démonstration à (re-)faire.


Pour lire le texte complet :
Québec solidaire renonce au projet de société indépendantiste

****************************


Les peurs démocratiques de la direction de Québec solidaire
Cachez ce plan vert de plein emploi écologique que le PQ ne saurait voir

Loca-terre

La direction Solidaire aurait peur de ne pas avoir la réponse parfaite, par exemple pour populariser la nouvelle cible radicale, mais conforme à la science, de baisser des deux tiers d’ici 2030 par rapport à 1990 les émanations de GES, de faire connaître publiquement l’opposition du parti tant au marché qu’à la taxe carbone, de dire non au REM de la Caisse de dépôt et de placement. Elle a peur d’être perçue comme sectaire en allant faire paître le PQ et son factice mouvement populaire, les Organisations unies pour l’indépendance (OUI) sous son contrôle en connivence avec Option nationale et le Bloc québécois. Mais de quoi cette direction a-t-elle finalement peur ? Ne serait-ce pas du peuple québécois, de son radicalisme en attente tel que révélé par le Printemps érable, de la démocratie ?


Pour lire le texte complet :
Les peurs de la direction de Québec solidaire

****************************


Les conditions idéales du capitalisme vert à la québécoise
Électrification à bon marché des transports pour Québec Inc.

Longue banderole sables bitumineux

Cet essai vise à faire une critique du capitalisme vert réellement existant à partir du cas québécois, soit le véhicule hydroélectrique et le Réseau électrique métropolitain (REM) qu’encadre le marché du carbone, dans le contexte canadien et mondial. Cette critique est située dans le conjoncture et dégage une proposition d’alternative et un plan d’action.


Pour lire le texte complet :
Électrification à bon marché des transports pour Québec Inc.