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La CDPQ adore pétrole et paradis fiscaux mais ne finance pas les aspects rentables d’un plan de sortie du pétrole

À vendre - système québécois

Consternée, mais sans que la gauche politique et sociale du Québec ne relèvent le gant, le peuple québécois découvre que la Caisse de dépôt et de placement du Québec (CPDQ) investit de plus en plus dans les entreprises liées au pétrole, particulièrement au pétrole sale, et non pas de moins en moins comme le font plusieurs fonds de placement aiguillonnés par la jeunesse universitaire. Cette mentalité de rentabilité maximum dut-elle détraquer la civilisation se conjugue à la propension de la CDPQ à placer ses sous de plus en plus dans les paradis fiscaux... se moquant du rapport de la députation, même libérale !, allant dans le sens contraire... au point d’émouvoir jusqu’au nouvel éditorialiste du Devoir. Décidément, la Caisse n’a plus de retenu au point de devenir une accapareuse de terres agricoles conjointement avec le larron Fonds de solidarité de la FTQ. Pareil comportement antisocial et anti-écologique ne mérite-il pas une faramineuse rémunération de ses dirigeants ?


Pour lire le texte complet :
La CDPQ se fout des GES et adore les paradis fiscaux

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La Caisse de dépôt au secours du gouvernement Libéral et de Québec Inc. sur le dos du prolétariat

Pourriture libérale 22-avr-2012 14-04-18


Le gouvernement du Québec confiera à la Caisse de dépôt et de placement du Québec (CDPQ) la prise en charge de A à Z de certaines infrastructures de transport... les plus rentables
1. Car il s'agit bien de rentabilité capitaliste2. En faisant financer ces infrastructures par les épargnes du prolétariat québécois en vue de leurs vieux jours3, sous contrôle gouvernemental mais sous-traitées à de dignes représentants du capital financier4, le gouvernement Libéral coince le prolétariat entre l'enclume écologique5, assaisonnée de nationalisme6, et le marteau capitaliste de la rentabilité, nécessaire dans le système actuel pour garantir les futurs prestations de retraite. Cerise sur le gâteau, l'État s'évite, du moins à court terme, l'accroissement de son endettement en diminuant ses propres investissements en infrastructures7 déjà fort peu écologiques.


Pour lire le texte complet :
La Caisse de dépôt au secours du gouvernement Libéral