Mexique
02/12/24 /09:48 /
Le Québec et le Canada secoués jusqu’au trognon par la tempête Trump
Voilà l’occasion d’un virage stratégique de décroissance matérielle
La victoire bien mince de Trump — à la plus représentative assemblée étatsunienne les Républicains n’auront un avantage que de deux ou trois sièges sur un total de 435 — va bouleverser le monde comme la conquête du pouvoir par le nazisme l’a fait en 1933. Si ce vent orageux de droite qui déferle sur le monde marquait davantage l’Europe que l’Amérique du Nord, celle-ci ne perd rien pour attendre. L’imbrication étroite de ces trois pays-économies dans l’ACEUM, suite de l’ALÉNA, imposé par la première présidence de Trump condamne les deux partenaires des États-Unis à marcher droit à sa suite sans s’illusionner à propos de fausses solutions dans le cadre capitaliste, sauf à la marge. Tant que reste en selle une démocratie représentative viable, le chemin reste ouvert pour la gauche anticapitaliste de secouer les puces du peuple-travailleur toujours majoritairement enlisé dans la torpeur de l’État providence consumériste en déliquescence mais de plus en plus répressif.
Pour lire le texte complet :
Le Québec et le Canada secoués jusqu’au trognon par la tempête Trump
05/02/18 /19:20 /
Le « to or not to be » des négociations de l'ALENA, gauche comprise
Sortir par la gauche avec un plan de plein emploi écologique
Quel que soient les acteurs au psychodrame ALÉNA, tous souhaitent sa reconduction mais pas à n’importe quel prix, les conditions variant d’un acteur à l’autre. Même si à l’origine la gauche dont le NPD … et les Libéraux rejetaient l’ALÉNA, tous aujourd’hui considèrent inextricables les chaînes de production créées depuis lors, surtout dans le secteur automobile… et plusieurs seraient gênés d’avoir la même position de façade que la présidence étasunienne. Si les Libéraux fédéraux ont changé leur fusil d’épaule dès leur accession au gouvernement en 1993, la gauche québécoise faisait encore en 2014 un « bilan désastreux » de l’ALÉNA. Aujourd’hui, elle se contenterait des quelques réformes non négligeables certes mais qui sont loin d’une rupture. Le très canadian de gauche, The Canadian Council, semble plus critique mais se rallie à ses partenaires dont le RQIC.
Pour lire le texte complet :
Le « to or not to be » des négociations de l’ALÉNA, gauche comprise
Sortir par la gauche avec un plan de plein emploi écologique
Quel que soient les acteurs au psychodrame ALÉNA, tous souhaitent sa reconduction mais pas à n’importe quel prix, les conditions variant d’un acteur à l’autre. Même si à l’origine la gauche dont le NPD … et les Libéraux rejetaient l’ALÉNA, tous aujourd’hui considèrent inextricables les chaînes de production créées depuis lors, surtout dans le secteur automobile… et plusieurs seraient gênés d’avoir la même position de façade que la présidence étasunienne. Si les Libéraux fédéraux ont changé leur fusil d’épaule dès leur accession au gouvernement en 1993, la gauche québécoise faisait encore en 2014 un « bilan désastreux » de l’ALÉNA. Aujourd’hui, elle se contenterait des quelques réformes non négligeables certes mais qui sont loin d’une rupture. Le très canadian de gauche, The Canadian Council, semble plus critique mais se rallie à ses partenaires dont le RQIC.
Pour lire le texte complet :
Le « to or not to be » des négociations de l’ALÉNA, gauche comprise