décroissance
20/10/24 /15:47 /
Nonobstant les guerres, il est minuit moins une quant à la crise climatique
Au-delà de la fin des fossiles, quel type de « sobriété » la résoudra ?
Un article de la revue savante de l’American Institute of Biosciences s’introduit par le cri d’alarme : « Nous sommes au bord d'une catastrophe climatique irréversible. Il s'agit sans aucun doute d'une urgence mondiale. Une grande partie du tissu même de la vie sur Terre est en péril. Nous entrons dans une nouvelle phase critique et imprévisible de la crise climatique. […] Nous avons maintenant amené la planète à des conditions climatiques jamais observées par nous ou par nos parents préhistoriques du genre Homo. »
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Au-delà de la fin des fossiles, quel type de sobriété la résoudra
10/06/24 /09:45 /
Le rejet du tout-électrique n’est pas juste un rejet de la privatisation
La dissidence Solidaire a l’occasion de choisir la décroissance
Pendant que le gouvernement de la CAQ mise sur le tout-électricité droit devant avec sa nouvelle politique de l’énergie qui veut doubler la production d’électricité « renouvelable » en 25 ans, on apprend que « [l]'hydroélectricité, la plus grande source d'énergie renouvelable au monde, a été paralysée par le manque de pluie dans plusieurs pays l'année dernière [2023], ce qui a entraîné une hausse des émissions [de GES], les pays se tournant vers les combustibles fossiles pour combler le déficit. […] Cette année, parce que ses barrages hydroélectriques géants n'avaient pas assez d'eau, le Canada a importé plus d'électricité des États-Unis qu'il ne l'avait fait depuis plus d'une décennie… »
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La dissidence Solidaire a l’occasion de choisir la décroissance
La dissidence Solidaire a l’occasion de choisir la décroissance
Pendant que le gouvernement de la CAQ mise sur le tout-électricité droit devant avec sa nouvelle politique de l’énergie qui veut doubler la production d’électricité « renouvelable » en 25 ans, on apprend que « [l]'hydroélectricité, la plus grande source d'énergie renouvelable au monde, a été paralysée par le manque de pluie dans plusieurs pays l'année dernière [2023], ce qui a entraîné une hausse des émissions [de GES], les pays se tournant vers les combustibles fossiles pour combler le déficit. […] Cette année, parce que ses barrages hydroélectriques géants n'avaient pas assez d'eau, le Canada a importé plus d'électricité des États-Unis qu'il ne l'avait fait depuis plus d'une décennie… »
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La dissidence Solidaire a l’occasion de choisir la décroissance
22/03/23 /18:09 /
Le rapport de la dernière chance du GIEC-ONU interpelle Québec solidaire
La nécessaire révolution décroissance-croissance n’est pas au menu du parti
La synthèse de la sixième série des rapports du GIEC-ONU confirme la catastrophe éminente en ce siècle en matière de climat et de biodiversité — « Après un voyage de 10 000 ans, la civilisation humaine a atteint un carrefour climatique : ce que nous ferons dans les prochaines années déterminera notre destin pendant des millénaires » — à moins d’un revirement immédiat dès cette décennie d’une panoplie de nouvelles politiques bien connues dans les domaines de l’énergie, du transport, de l’agriculture, de l’habitation, de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire.
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Le rapport de la dernière chance du GIEC-ONU interpelle Québec solidaire
27/08/18 /20:54 /
L’enjeu politique de la crise climatique et de celle de la biodiversité
Transition vers le capitalisme vert ou rupture avec le « marché » ?
On savait par l’actualité que la crise climatique et celle de la biodiversité frappent durement les petits États du Pacifique que la mer est en train de submerger, que les moussons de forces jamais vues ravagent l’Asie du Sud, que les Philippines sont dévastés par des typhons que l’histoire n’a jamais connus, que l’Afrique s’assèche et se désertifie à un rythme dévastateur, que le Grand Nord voit fondre ses glaces et amollir ses sols au point de menacer le mode de vie de ses habitants. Mais dans les zones tempérées où s’agglutinent la grande majorité des pays impérialistes qui comptent, à part quelques canicules qui n’ont pas que des désavantages pour ceux et celles ayant l’air climatisé et qui sont en moyen de prendre des vacances, des feux de forêts et quelques inondations plus fréquents frappant quelques malchanceux, et un peu d’érosion des côtes, mais quand même de sérieux ouragans ayant frappé les ÉU… mais ils sont riches et puissants, tout allait très bien madame la marquise. Puis vint la grande canicule de l’hémisphère Nord de l’été 2018
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Transition vers le capitalisme vert ou rupture avec le « marché »
Transition vers le capitalisme vert ou rupture avec le « marché » ?
On savait par l’actualité que la crise climatique et celle de la biodiversité frappent durement les petits États du Pacifique que la mer est en train de submerger, que les moussons de forces jamais vues ravagent l’Asie du Sud, que les Philippines sont dévastés par des typhons que l’histoire n’a jamais connus, que l’Afrique s’assèche et se désertifie à un rythme dévastateur, que le Grand Nord voit fondre ses glaces et amollir ses sols au point de menacer le mode de vie de ses habitants. Mais dans les zones tempérées où s’agglutinent la grande majorité des pays impérialistes qui comptent, à part quelques canicules qui n’ont pas que des désavantages pour ceux et celles ayant l’air climatisé et qui sont en moyen de prendre des vacances, des feux de forêts et quelques inondations plus fréquents frappant quelques malchanceux, et un peu d’érosion des côtes, mais quand même de sérieux ouragans ayant frappé les ÉU… mais ils sont riches et puissants, tout allait très bien madame la marquise. Puis vint la grande canicule de l’hémisphère Nord de l’été 2018
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Transition vers le capitalisme vert ou rupture avec le « marché »