démocratie
18/01/21 /19:04 /
De Québec solidaire à Podemos ?
La démocratie Solidaire se transforme à petit feu en démocratie plébiscitaire
Le 15 janvier, tous les membres de Québec Solidaire recevaient un courriel les enjoignant à participer à des rencontres régionales en février pour préparer la plateforme électorale 2022 sur la base d'un questionnaire qui sera disponible à la fin janvier. Ces rencontres sont la première étape menant au vote de cette plateforme lors du congrès de l'automne 2021 en passant par le conseil national de mai 2021 qui devra identifier ses « axes prioritaires ». Manifestement la direction du parti a pris goût à ces rencontres consultatives 'zoom' sans clavardage, sans caméra et à micro contrôlé qu'elle a découvertes lors de la première vague de la pandémie le printemps dernier. Ces rencontres, en réalité des conférences avec questions-commentaires, permettent à la haute direction et à la députation du parti un contact direct avec les membres sans passer par les structures statutaires électives, essentiellement les associations de circonscription.
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La démocratie Solidaire se transforme à petit feu en démocratie plébiscitaire
24/02/19 /11:29 /
La contradictoire dialectique de la démocratie Solidaire
La montée démocratique d'en bas bloquée par le verticalisme d'en haut
Ma circonscription, celle d'Hochelaga-Maisonneuve, avait pris l'habitude de ne plus convoquer d'assemblée générale pour préparer les conseils nationaux (CN) dont l'élection de la délégation choisie au sein de la coordination, alors que les assemblées générales restaient de mise pour préparer les congrès lesquels dorénavant n'ont lieu qu'aux deux ans. Mais voici que pour une troisième fois consécutive, une assemblée générale pré-CN a été tenue. Pour mettre de la chair sur l'os de ce renouveau démocratique, la délégation de six personnes a été choisie après le débat principal prévu au CN, soit celui des signes religieux, et en proportion du résultat de ce vote, soit cinq pour l'option B (aucune coercition) et une pour l'option A (coercition Bouchard-Taylor), selon le principe du vote proportionnel que notre parti, et pas seulement, réclame pour l'élection de l'Assemblée nationale mais que ses statuts ne prévoient pas pour sa démocratie interne. Certains signes donnent à penser qu'une telle évolution a cours dans tout le parti. On s'éloigne de la pratique des « slates » votant en bloc et des « chuchotements » intra-délégation sur le plancher l'incitant.
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La contradictoire dialectique de la démocratie Solidaire
La montée démocratique d'en bas bloquée par le verticalisme d'en haut
Ma circonscription, celle d'Hochelaga-Maisonneuve, avait pris l'habitude de ne plus convoquer d'assemblée générale pour préparer les conseils nationaux (CN) dont l'élection de la délégation choisie au sein de la coordination, alors que les assemblées générales restaient de mise pour préparer les congrès lesquels dorénavant n'ont lieu qu'aux deux ans. Mais voici que pour une troisième fois consécutive, une assemblée générale pré-CN a été tenue. Pour mettre de la chair sur l'os de ce renouveau démocratique, la délégation de six personnes a été choisie après le débat principal prévu au CN, soit celui des signes religieux, et en proportion du résultat de ce vote, soit cinq pour l'option B (aucune coercition) et une pour l'option A (coercition Bouchard-Taylor), selon le principe du vote proportionnel que notre parti, et pas seulement, réclame pour l'élection de l'Assemblée nationale mais que ses statuts ne prévoient pas pour sa démocratie interne. Certains signes donnent à penser qu'une telle évolution a cours dans tout le parti. On s'éloigne de la pratique des « slates » votant en bloc et des « chuchotements » intra-délégation sur le plancher l'incitant.
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La contradictoire dialectique de la démocratie Solidaire
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18/12/16 /20:45 /
Réponse à Daniel Tanuro par un détour historique
Un gouvernement mondial pour sauver la civilisation
Il faut prendre toute la mesure de la catastrophe du socialisme réellement existant du XXiè siècle. Le duo maudit des bureaucraties stalinienne et social-démocrate, couche sociale issue du prolétariat et de la petite-bourgeoisie, a brisé l’élan révolutionnaire tirant son origine de la révolution française de la fin du XVIIIiè siècle. Cet élan se basait sur la forte aspiration socialiste du prolétariat jusqu’à la Première guerre mondiale laquelle s’est prolongée jusqu’à l’entre-deux-guerres. Ce élan dut faire face à une réaction prête à utiliser tous les moyens, du fascisme génocidaire jusqu’au consumérisme et militarisme écocides.
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Réponse à Daniel Tanuro par un détour historique -- Un gouvernement mondial pour sauver la civilisation