Néolibéralisme


Quand le rejet de l’avortement fait le lit du néolibéralisme en perdition

Capture d’écran, le 2022-05-31 à 18.13.27


Depuis une génération, exactement depuis la crise économique dite asiatique de 1997, la crédibilité de l’idéologie néolibérale est en perte de vitesse. La grande crise de 2007-2009 boostée par celle pandémique en a définitivement consacré l’échec idéologique mais non la longévité pratique qui semble éternelle malgré qu’on ait alors cru sa fin advenue. Ce n’est pas non plus que sa performance économique, mesurée en termes étriqués de croissance du PIB, eut été mirobolante, même dans ces beaux jours, en comparaison de l’ère des dites « trente glorieuses » (1945-1975). En ces anciens temps bénis marqués par le début de la grande rupture écologique dont la conscience était masquée par la factice prospérité matérielle du chacun pour soi recroquevillant la solidarité tant ouvrière qu’humaine, le capitalisme triomphant pouvait en plus se draper de l’anticommunisme, confondu avec l’anti-stalinisme, pour fourvoyer prolétariat et humanité.


Pour lire le texte complet :

Quand le rejet de l’avortement fait le lit du néolibéralisme en perdition