La complainte de la gent étudiante juive des universités du Québec
La réalité de l’antisémitisme ne justifie pas une nouvelle Shoa
La gent étudiante juive des universités québécoises, du moins une partie d’entre elle, se plaint de discrimination, d’intimidation et de haine. Strictement parlant, elle n’a pas tort. L’antisémitisme trouve ses racines dans les tréfonds de la civilisation dite occidentale soit à l’ancienne à l’encontre du Juif assassin de Jésus de Nazareth soit à la moderne contre le Juif épine dorsale soit du capitalisme financier soit du communisme dépendamment de l’orientation politique de tout un chacune. En ont résulté pogroms et Holocauste. Jusqu’à ce génocide, on pouvait considérer l’antisémitisme comme le socle de tous les racismes. Peut-être l’est-il encore en catimini et sans doute inspire-t-il certaines opinions et certains gestes de ceux et celles qui appuient et luttent pour la libération nationale du peuple arabe palestinien ? Nul doute qu’il faille dénoncer ces gestes et opinions.
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La complainte de la gent étudiante juive des universités du Québec
Il ne suffit pas d’exiger un cessez-le-feu contre la guerre génocidaire
S’imposent l’arrêt des exportations d’armes et financer l’UNRWA
On ne dénoncera jamais assez l’odiosité du gouvernement canadien qui a hésité et tardé à réclamer un cessez-le-feu au fascisant gouvernement sioniste concernant sa terriblement asymétrique guerre génocidaire contre le peuple palestinien, et pas seulement contre la Bande de Gaza. Il faut dire que le gouvernement québécois a fait pire en tardant davantage et en persistant à ouvrir un bureau du Québec en Israël.
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Il ne suffit pas d’exiger un cessez-le-feu contre la guerre génocidaire
Carottes et bâtons de financement climatique en Afrique du Sud
Projets pilotes "Partenariat pour une transition énergétique juste" et "Mécanisme d'ajustement carbone aux frontières"
par Patrick Bond 29/03/23
Présentation :
La réflexion québécoise sur la crise climatique, tout comme celle canadienne et étasunienne sans doute, prend rarement en compte le point de vue des peuples des pays dit émergents et dépendants. Ce point de vue est celui du militant et penseur Patrick Bond de l’Afrique du Sud. Son analyse climatique de son pays, tant dans ses rapports internes qu’externes, il l’a récemment présenté et discuté à une réunion de Global Ecological Network (GEN) en s’appuyant sur son texte publié en anglais par le CADTM (Patrick Bond, Climate-Financing Carrots and Sticks in South Africa, CADTM, 29/03/23). Il vaut la peine d’en faire une présentation sur la base de nombreux extraits traduits. Mes commentaires suivent. Les sous-titres sont les miens.
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Carottes et bâtons de financement climatique en Afrique du Sud --
La place du Québec dans la nouvelle division du travail tout électrique
Porteur d’eau et scieur de bois hier, porteur de bois et scieur de bois demain
Pour les tenants du capitalisme vert, la solution purement technologique à la crise climatique consiste à parachever la révolution électrique du début du XXe siècle qui s’était fait damer le pion par le moteur à explosion pour les transports faute d’une batterie bon marché, un échec de Thomas Edison, tout en ayant besoin des combustibles fossiles comme énergie primaire sauf la marginale hydroélectricité et au milieu du siècle l’électricité nucléaire restée tout aussi marginale et devenue toxique malgré d’initiales faramineuses promesses afin de masquer qu’elle était à la fois paravent et antichambre de l’arme nucléaire. Aujourd’hui, tant la combinaison de la révolution téléinformatique découlant du transistor, des circuits intégrés, du laser et de l’internet, et celle des nouveaux matériaux d’application tous azimuts découlant des progrès exponentiels de la chimie et de la physique et de leur osmose rendent possible, technologiquement et maintenant économiquement parlant, l’élimination des combustibles fossiles.
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La place du Québec dans la nouvelle division du travail tout électrique
Le GIEC des sols et de l’alimentation : le rapport décennal de la FAO
L’agroécologie contre la « révolution verte » et ses 31% des GES mondiaux
En décembre dernier, l’Organisation des Nations unies sur l’alimentation et l’agriculture (FAO) publiait, comme à chaque décennie, l’équivalent du rapport du GIEC portant sur l’état des sols et l’agriculture. Ce rapport recèle les mêmes points forts que celui du GIEC sur les diagnostics et les mêmes points faibles que celui portant sur les politiques en résultant, ce qui n’étonne pas de la part d’une organisation d’experts et de scientifiques mais redevable en dernière analyse aux États (FAO, L’état des ressources en terres et en eau pour l’alimentation et l’agriculture dans le monde -- Des systèmes au bord de la rupture, Rapport de synthèse, 2021). De diagnostiquer le rapport (extraits avec des intertitres qui sont les miens)
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L’agroécologie contre la « révolution verte » et ses 31% des GES mondiaux
Un jour férié imposé au Canada honteux et récusé par le Québec identitaire
Une rencontre ratée de deux peuples opprimés divisés par le fédéralisme
Face à la tragédie génocidaire des pensionnats autochtones qui démasque l’hypocrisie mensongère du libéralisme fédéral canadien dont le trudeauisme est le pinacle, en particulier face à la résonnance mondiale de ce crime, le gouvernement fédéral s’est vu contraint d’instaurer un nouveau jour férié. Le 30 septembre 2021 a été la première « Journée nationale de la vérité et de la réconciliation ». Le premier ministre Trudeau en a profité pour prendre des vacances, pied-de-nez durement ressenti par la communauté autochtone et qu’il n’aurait jamais osé faire aux vétérans le Jour du souvenir ! Si les provinces « liberal », y compris celles aux gouvernements « progressistes-conservateurs » ont suivi l’exemple fédéral, celles populistes-conservatrices comptant pour la grande majorité de la population canadienne (Ontario, Québec, Alberta, Saskatchewan, Nouveau-Brunswick) ne l’ont pas fait.
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Dans le sillage pandémique, la renaissance des mobilisations climatiques
Cent mille étudiant-e-s en grève, de 15 à 20 mille qui manifestent au Québec
Album photo : https://1drv.ms/a/s!Aj4UXfoRjr1TkzUlGoCWyjzjWJUr
Selon la Coalition étudiante pour un virage environnemental et social (CEVES), organisatrice des manifestations climatiques du 24 septembre avec la collaboration du collectif innu Mashk Assi, de Solidarité sans frontières et Pour le futur Montréal, dans une dizaine de villes du Québec dont Montréal, Québec, Sherbrooke, Gatineau (Ottawa), Alma, Rimouski, Granby, La Pocatière et Joliette, un peu plus de 110 000 personnes étudiantes ont fait grève ce jour-là. Dans la rue, elles étaient de dix à quinze mille à Montréal, de deux à trois mille à Québec et quelques centaines ailleurs. Comme on pouvait s’y attendre, la récupération politicienne était au rendez-vous et sa place dans les grands médias prééminente en propos lénifiants. Mais signalons le cortège de quelques dizaines de personnes de Québec solidaire à Montréal qui contrastait avec la présence syndical et populaire réduite à quelques fanions et à l’une ou l’autre bannière.
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Quelques remarques sur la lutte du Front commun qui n’a pas existé
Une évidente défaite mais pas du tout un écrasement… vers la ronde finale
Le contexte pandémique a manifestement changé les règles du jeu. Le gouvernement de la CAQ avait besoin de la pleine collaboration de la première ligne de ses travailleuses essentielles — surtout des femmes d’où le féminin générique — lesquelles ont été au rendez-vous à commencer par celles racisées. Difficile dans ces circonstances d’imposer une politique rigide et encore moins des décrets et lois spéciales. La CAQ aurait bien voulu régler à la va-vite et à bon marché dès le début mais les bureaucraties syndicales ne pouvaient consentir à ce coup fourré sans risquer d’être reniées par leurs bases. Par contre, les syndicats du secteur public ne pouvaient ni moralement ni politiquement utiliser l’arme du retrait des services envers une population angoissée si ce n’est paniquée ce qui en plus allait à l’encontre de la loi des services essentielles non défiée depuis longtemps en des temps plus ordinaires. La suggestion gauchiste d’actions grévistes au début de la pandémie relevait de l’aventurisme casse-gueule.
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Les GES des grandes entreprises, point aveugle de la lutte climatique
Une occasion de « transition juste » vers le plein emploi écologique
Le mouvement écologiste est en lutte pour la diminution extrêmement rapide des émanations de gaz à effet de serre (GES) afin d’éviter un scénario catastrophique de dynamique de terre-étuve. Étant donné le risque de franchir d’irréversibles points de bascule même en se fixant l’objectif ambitieux de ne pas dépasser une hausse des températures de 1.5°C, la gauche écologiste se rallie de plus en plus à l’objectif d’une réduction nette des GES de 100% d’ici 2030 et non pas 2050 ce à quoi plusieurs pays commencent à adhérer pour mieux masquer leur manque d’ambition par rapport à l’objectif intermédiaire de 2030 que la prochaine COP 26 de Glasgow mettra sous les projecteurs. Non seulement est-ce le cas du nouveau Global Ecosocialist Network autour de Michaël Lowy et du canadien Ian Angus mais aussi au Québec de la Coalition étudiante pour un virage environnemental et social (CEVES) et des Chantiers de la déclaration d’urgence climatique (C-DUC).
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Covid-19 au Canada-Québec, le pire cas des pays riches pour les gens âgés
Hécatombe sur le dos des travailleuses essentielles surtout racisées
Le Canada s'illustre mondialement comme le pays où la mortalité relative covid-19 des personnes âgées est la plus importante parmi les pays riches.
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Covid-19 au Canada-Québec, le pire cas des pays riches pour les gens âgés
Le REM de l'est comme celui en construction est une arnaque anti-écologique
Il abandonne le plancher des vaches au règne de l'auto solo privé
Le REM est une arnaque, et le REM de l'Est encore plus, enrobé dans une tonne de sucre soit-disant écologique: « … le REM de l’Est permettra de réduire les gaz à effet de serre (GES) de 35 000 tonnes par année, selon la Caisse, ce qui équivaut à retirer environ 12 500 voitures des routes. Ce volume, c’est 0,25 % du parc automobile actuel ou encore 0,14 % de notre objectif québécois de réduction des GES d’ici 2030 » (Francis Vailles, REM de l’Est Ce projet de 15 milliards sera-t-il rentable ?, La Presse, 16/12/20). Le REM en construction ne vaut guère mieux selon le test climat fait en 2018 par la Coalition Climat Montréal et le Syndicat canadien de la fonction publique. En plus de ne contribuer en rien à la réduction des GES, le REM coûte les yeux de la tête, tant pour la construction des infrastructures que pour les frais d'exploitation, et ce sera au détriment du contribuable comme l'explique Francis Vailles et l'étude des deux experts responsables du test climat.
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Le REM de l'est comme celui en construction est une arnaque anti-écologique
Le débat linguistique revient hanter le Québec – Lettre ouverte à Joshua Pace
La français exprime un projet de société dont les jeunes sont le cœur
Je ne m'en cacherai pas. Ta lettre à Ricochet a dardé le cœur du vieux soixante-huitard que je suis. Elle a ressuscité le cauchemar du « speak white » de mon enfance. Par ricochet, elle invite à radier les avancées de la lutte pour le français consacrées par l'originale loi 101. Je ressens ta lettre comme le point final de l'échouement de cette loi sur le brise-lame du combat perdu pour le McGill (et Dawson) français puis son délitement sous les coups de boutoir de la Cour suprême, institution fédéraliste par excellence. Te réjouis-tu que le marché du travail du Grand Montréal – 50% du Québec démographique – s'anglicise, que le commerce s'y bilinguise, que les francophones s'engouent pour les cégeps et universités anglophones ce qui leur permet de sélectionner les « élites » de demain ? Au point que même le gouvernement Trudeau s'en émeut... mais sans plus.
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Lettre ouverte à Joshua Pace
Luttes autochtones au Canada Chronique d’une occasion manquée de combiner droits autochtones et justice climatique
La flambée de barrages qui a éclaté au Canada au début de 2020 pour contrer la construction d’un gazoduc traversant des terres autochtones en Colombie britannique a ravivé des luttes de vieille date de communautés qui auraient pu être rejointes, dans leur combat, par tous ceux et celles qui se mobilisèrent massivement quelques mois plus tôt pour la défense du climat. Mais cette quasi-coïncidence des mobilisations ne s’est guère traduite par leur conjonction, alors que d’évidence l’objet de récrimination récurrent des premières nations, l’exploitation de combustibles fossiles, fait figure de principal responsable du réchauffement climatique.
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Bonhomme - Canada - Écorev
Le Québec : Un des pires cas au monde, mais toujours confiant envers la CAQ
Résultat : Aucun des projets de relance ne rompt avec le capitalisme
"Première ronde: après la covid-19, la crise climatique"
Dès le début avril, le gouvernement de la CAQ au Québec, procédant plus franchement, formait un comité ministériel pour la planification de l’après-crise composé des quatre ministres chargés des ministères économiques (Finance, Économie, Conseil du trésor, Emploi). « François Legault promet que l’environnement ne sera pas sacrifié dans le plan de relance économique qui se prépare en coulisse. Mais il n’a pas cru bon faire de place aux ministres de l’Environnement et de l’Énergie dans son escouade ministérielle formée des quatre hommes (pas une femme, vraiment ?) qui s’occupent de l’économie, et juste de l’économie. » (François Cardinal, Après la COVID-19 : reconstruire… en mieux (2), La Presse +, 16/04/20). Ce serait croire au Père Noël s'imaginer que les propositions des ces messieurs aboutiront à autre chose que le statu quo plus la promotion de l'auto hydroélectrique et quelques grands projets pharaoniques de transport collectif surtout aérien et un peu sous terre abandonnant la terre ferme à la dominance de l'auto solo à qui on donnera en cadeau le troisième lien à Québec.
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Le Québec -- Un des pires cas au monde, mais toujours confiant envers la CAQ
Le débat sur la ré-ouverture scolaire sur fond de ré-ouverture économique
L'« économie » est clairement gagnante mais le peuple travailleur l'est-il ?
En Europe occidental comme aux ÉU et au Canada-Québec, le débat du jour concerne la ré-ouverture économique, particulièrement celle scolaire. Règle générale, plus un gouvernement est de droite, plus il est pressé. Certains de droite extrême ne sont jamais passés au confinement en tout (Brésil) ou en partie (États-unis). Ajoutons à ce dernier groupe l'étonnante Suède dotée d'un gouvernement dit de gauche-vert soutenu par la droite afin de bloquer la droite extrême... pour mieux appliquer la politique pandémique de cette dernière ! Ce n'est pas un hasard si au Canada, la Saskatchewan et le Nouveau-Brunswick sont à l'avant-garde de la ré-ouverture... mais l'Ontario retarde la ré-ouverture annoncée de ses écoles jusqu'au 31 mai. Soulignons cependant les premiers de classe (Corée du Sud, Taïwan, Nouvelle-Zélande, Vietnam) dont la rapidité de réaction et la politique de traçage agressif avec confinement des seuls malades et malades potentiels ont pu leur éviter un confinement généralisé... mais peut-être pas une deuxième vague dévastatrice tout dépendant de leur réponse à venir.
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Le débat sur la ré-ouverture scolaire sur fond de ré-ouverture économique
Une critique velléitaire qui refuse de se libérer de ce carcan
La politique de mobilité durable (PMD) du gouvernement du Québec, enfin rendue publique en avril, a généré un concert de louanges provenant du comité consultatif formé pour l’occasion, allant du Conseil du patronat à Alliance Transit composée entre autres de la plupart des grands organisations écologiques (Équiterre, Fondation Suzuki, Greenpeace, Nature Québec, RNCGEQ), des groupes pour la réforme de la trame urbaine ( Trajectoire Québec alias Transport 2000, Vélo-Québec et Vivre en ville), du Conseil central du Montréal métropolitain, du Conseil régional FTQ Montréal métropolitain et du FRAPRU. À peine peut-on dénoter quelques réserves à propos des moyens à déployer, surtout en région, des bémols sur des aspecte particuliers quoique non banals comme le transport actif... et des lamentations péquistes pour avoir été privé de la paternité de la dite politique. Quant à Québec solidaire, ne voulant pas se découpler de la position des grandes organisations nationales en plus de s’être embourbé dans un plan de lutte climatique respectant les limites de ce que tolère le marché, le silence est d’or… tout comme pour la CAQ qui n’a rien à foutre de la PMD.
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Une politique de mobilité durable étouffée par le «marché»
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Dans un contexte de ré-endettement mondial prémonitoire de crise
Le Québec/Canada dans les griffes du trumpisme économique
L’économie québécoise, tout comme celles canadienne, étasunienne, européenne et même mondiale, toussotent vers le haut. Après la crise de 2007-2008, il restait finalement une bonne marge de manœuvre pour accroître encore plus l’endettement mondial grâce à la Chine et à plusieurs autres économies dite émergentes, particulièrement en ce qui concerne la dette privée... mais aussi par le moyen de la croissance importante de la dette publique aux ÉU, dans l’Union européenne et au Japon. La dette mondiale a crû de 40% de 2007 à 2014 (de 6% en termes de ratio dette/PIB). Cette croissance de la dette s’accélère depuis 2012. Depuis la Grande crise, l’endettement canadien a augmenté autant dans la sphère privée, en particulier celle des ménages, que dans celle publique même s’il n’y a pas encore retrouvé le niveau de 1995 qui fut alors le prétexte pour la grande offensive du déficit zéro.
Le Québec - Canada dans les griffes du trumpisme économique
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Terrorisme à Québec
Racisme mâle «pure laine» et libération nationale en panne
Il est troublant que cet attentat terroriste, comme ceux de St-Jean-sur-Richelieu et d’Ottawa en 2014, aient mis en cause des terroristes mâles d’origine Québécois de souche. Évidemment, il faut tenir en compte que les victimes de 2017 sont non seulement plus nombreuses qu’en 2014 mais sont musulmanes, comme cela est vrai au niveau mondial, et non des membres de l’armée canadienne.
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Terrorisme à Québec