Les GES ne plafonnent pas mais croissent à un taux croissant
Contre la bourgeoisie suicidaire le mouvement écologiste s’unifie

Fleurir et vivre
 
 
Régulièrement les grands médias annoncent le plafonnement ou la baisse des émanations des gaz à effet de serre (GES), La Presse pour le Canada, le Washington Post pour la Chine, The Economist pour l’Europe, le New York Times pour le monde. Et pourtant il n’en est rien. Cette baisse ou ce plafonnement ou tout simplement une décélération de la hausse du CO2, le principal GES, on ne la voit pas quand on examine l’évolution de l’étalon de mesure par excellence soit celle de l’observatoire de Mauna Loa à Hawaï qui enregistre la densité du CO2 depuis 1958. Au XXIe siècle, la réalité a plutôt été une accélération du taux de croissance de chaque décennie (ligne noire). La baisse du taux de croissance des premières années de la présente décennie s’explique par l’effet de la pandémie. Mais le record de 2023 vient effacer toute illusion :

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Les GES croissent à un taux croissant car le capitalisme l’exige

Le rejet du tout-électrique n’est pas juste un rejet de la privatisation
La dissidence Solidaire a l’occasion de choisir la décroissance

QS ;a la manif Palestine
 
Pendant que le gouvernement de la CAQ mise sur le tout-électricité droit devant avec sa nouvelle politique de l’énergie qui veut doubler la production d’électricité « renouvelable » en 25 ans,
on apprend que  « [l]'hydroélectricité, la plus grande source d'énergie renouvelable au monde, a été paralysée par le manque de pluie dans plusieurs pays l'année dernière [2023], ce qui a entraîné une hausse des émissions [de GES], les pays se tournant vers les combustibles fossiles pour combler le déficit. […] Cette année, parce que ses barrages hydroélectriques géants n'avaient pas assez d'eau, le Canada a importé plus d'électricité des États-Unis qu'il ne l'avait fait depuis plus d'une décennie… »


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La dissidence Solidaire a l’occasion de choisir la décroissance


Le Festival de la décroissance conviviale dans la forêt Steinberg
Lucide, sans pessimisme, la militance dresse le bilan des luttes

Festival décroissance

 
On connaît l’organisation citoyenne Mobilisation 6600 du quartier Hochelaga-Maisonneuve à Montréal pour sa lutte acharnée pour la transformation en parc nature de l’immense friche L’Assomption, assemblage contigu de plusieurs composantes (l’ancienne cour de triage du CN devenue une mini-forêt poussant à travers les rails, l’ancienne usine Canadian Steel Foundries achetée par Raymond Logistique qui a rasé la forêt naissante pour une plateforme de containers, la « forêt Steinberg » devenu emboisée depuis longtemps avec ses milieux humides vestiges du ruisseau Molson et le petit boisé Vimont devenu la forêt enchantée des enfants).


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Le Festival de la décroissance conviviale dans la forêt Steinberg




L’enjeu à QS n’est ni la prise du « pouvoir » ni l’unité du parti
Il s’agit de sa démocratisation pour un virage à gauche toute

GND et Émilise
 

Aujourd’hui s’ouvre à Saguenay le Conseil national (CN) de Québec solidaire dont l’enjeu n’est ni la volonté de conquérir la majorité parlementaire — le « pouvoir » est à Washington, New-York, Toronto, Ottawa, quelque peu à Montréal mais si peu à Québec — ni la remise en cause de l’unité du parti. Ce discours est une marotte de l’aile parlementaire pour faire peur au monde et pour faire rentrer dans le rang la dissidence toutes tendances confondues. L’enjeu est à la fois l’intensité gauche de la politique du parti et le degré de démocratisation de son organisation étant entendu la corrélation positive entre les deux.


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L’enjeu à QS n’est ni la prise du « pouvoir » ni l’unité du parti


La guerre génocidaire du sionisme cristallise la crise civilisationnelle
Les camps étudiants, lueur d’un nouveau monde à faire resplendir 

De la rivière à la mer

 
Les camps étudiants contre la guerre génocidaire du gouvernement sioniste, qui ont fini par poindre au Québec, sont la conscience humaniste d’un monde capitaliste sans rémission gagné jusqu’à son tréfonds par la course au profit et le culte de l’argent, corrompu jusqu’à la moelle par l’idéologie néolibérale du chacun pour soi et au diable la catastrophe, à l’aise avec des chefs à poigne qui tonitruent les droits humains tout en faisant taire les humanitaires qui les empêchent de tourner en rond. Les partis politiques n’ont de cesse de s’ajuster à ce monde en chamaille où la guéguerre des grands garçons, pour régner sur les gangs qui paralysent les compatissantes, jouent à la roulette russe avec le sort du monde. Les guerres polarisantes tassent dans la marge tant la centralité politique que l’allocation des ressources pour la course éperdue de la terre-mère vers la terre-étuve.


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La guerre génocidaire du sionisme cristallise la crise civilisationnelle