Front commun pour la transition énergétique


Le « défi 50% » du Front commun pour la transition énergétique
La « sobriété » est moins un défi technique que politique


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Est-il encore une fois nécessaire de rappeler que l’année 2024 sera vraisemblablement
l’année la plus chaude, la première dépassant le fatidique 1.5°C que le GIEC-ONU et la COP de Paris avaient fortement recommandé de ne pas dépasser ? Est-il utile de rappeler que les COP de 2024, sur le climat comme sur la biodiversité en passant par les négociations sur un traité sur le plastique se sont terminées en échec patent ? Faut-il souligner encore une fois que le Canada est le cancre du G-7 pour les émanations de gaz à effet de serre (GES) ?  Faut-il dénoncer l’hypocrisie du Québec de prétendre être le premier de la classe au Canada parce qu’il ne tabule pas les effarantes émanations des GES dues à la production de pétrole bitumineux albertain que pourtant il consomme ?


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Le « défi 50% » du Front commun sur l’efficacité énergétique