Les luttes autochtones contre le gaz à celles contre les éoliennes
Se lier d’abord aux luttes libératrices des bases populaires

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Cette article lumineux du New York Times à propos des développements gargantuesques d’installations de transport et d’exportation de gaz naturel liquéfié (GNL) sur le côte Pacifique de la Colombie britannique en plein territoire autochtone légalement reconnu par la Constitution canadienne met en relief les contradictions que ces développements provoquent au sein de ces communautés. D’un côté se trouvent les transnationales avec leurs milliards $ et appuyées par les gouvernements et de l’autre les peuples autochtones avec leur pauvreté et leurs divisions tant nationales que celles de leur gouvernance interne déstructurée par la Loi des Indiens.

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Les luttes autochtones contre le gaz à celles contre les éoliennes



Le « défi 50% » du Front commun pour la transition énergétique
La « sobriété » est moins un défi technique que politique


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Est-il encore une fois nécessaire de rappeler que l’année 2024 sera vraisemblablement
l’année la plus chaude, la première dépassant le fatidique 1.5°C que le GIEC-ONU et la COP de Paris avaient fortement recommandé de ne pas dépasser ? Est-il utile de rappeler que les COP de 2024, sur le climat comme sur la biodiversité en passant par les négociations sur un traité sur le plastique se sont terminées en échec patent ? Faut-il souligner encore une fois que le Canada est le cancre du G-7 pour les émanations de gaz à effet de serre (GES) ?  Faut-il dénoncer l’hypocrisie du Québec de prétendre être le premier de la classe au Canada parce qu’il ne tabule pas les effarantes émanations des GES dues à la production de pétrole bitumineux albertain que pourtant il consomme ?


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Le « défi 50% » du Front commun sur l’efficacité énergétique


Le bilan fin de session Solidaire dans le déni de la réalité
Une occasion ratée de soutenir la cause palestinienne

Rhuba Gazal

 
Dans un esprit pacifiste, Québec solidaire a toujours fait le service minimum en soutien à la lutte du peuple palestinien malgré sa distanciation vis-à-vis les propos de son député Haroun Bouazzi qui soulignait l’évidence du racisme systémique en langage codé (dog-whistle) anti-immigration présent à l’Assemblée nationale tant par la bouche du Premier ministre que par celle du chef du PQ. Dans son bilan de fin de session livré par une lettre à tous les membres, le parti ignore cette déplaisante affaire pour uniquement mettre en relief sa nouvelle porte-parole femme sans aucune référence ni au bilan parlementaire du parti ni à la conjoncture nationale ou mondiale. C’est à ce point que le député Bouazzi est absent de la photo accompagnant la lettre (tout comme la députée de Sherbrooke qui l’avait vertement critiqué). Est-ce que la ligne noire coupant la photo en deux est un symbole ?


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Le bilan fin de session Solidaire dans le déni de la réalité


Semaine autochtone chargée non reflétée dans les médias
La relation avec le gouvernement caquiste empire dangereusement

Femmes autochtones en pleurs

 
Les gens de gauche qui veulent être bien renseignés à propos de la question autochtone et inuit ont tout avantage à consulter la section « Espaces autochtones » de Radio-Canada quitte à s’abonner à son infolettre hebdomadaire.
La dernière lettre est riche d’informations donnant mal au cœur à tout démocrate.


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Semaine autochtone chargée non reflétée dans les médias



Le Québec et le Canada secoués jusqu’au trognon par la tempête Trump
Voilà l’occasion d’un virage stratégique de décroissance matérielle

Screenshot 2024-12-02 at 15-31-19 Une rencontre « productive » entre Trump...Canada

 
La victoire bien mince de Trump — à la plus représentative assemblée étatsunienne les Républicains n’auront
un avantage que de deux ou trois sièges sur un total de 435 — va bouleverser le monde comme la conquête du pouvoir par le nazisme l’a fait en 1933. Si ce vent orageux de droite qui déferle sur le monde marquait davantage l’Europe que l’Amérique du Nord, celle-ci ne perd rien pour attendre. L’imbrication étroite de ces trois pays-économies dans l’ACEUM, suite de l’ALÉNA, imposé par la première présidence de Trump condamne les deux partenaires des États-Unis à marcher droit à sa suite sans s’illusionner à propos de fausses solutions dans le cadre capitaliste, sauf à la marge. Tant que reste en selle une démocratie représentative viable, le chemin reste ouvert pour la gauche anticapitaliste de secouer les puces du peuple-travailleur toujours majoritairement enlisé dans la torpeur de l’État providence consumériste en déliquescence mais de plus en plus répressif.


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Le Québec et le Canada secoués jusqu’au trognon par la tempête Trump